"Lorsque George Collinson rencontre Eloïse dans la demeure du gouverneur à Sydney, c'est le coup de foudre. Mais Eloïse est mariée à Edouard Cadwallader, l'ennemi de George, un homme capable d'une grande violence, qui ne laissera ni Eloïse ni leur fils le quitter vivant. Tandis que George et Eloïse luttent pour garder leur amour intact, d'autres batailles font rage. Les pionniers se battent contre les aborigènes pour sauvegarder leurs terres et assurer l'essor de leurs domaines. Débarque alors le rebelle irlandais Niall Logan, arrivé enchaîné dans la colonie, qui rêve du bateau qui le ramènera chez lui. Alors que leurs maris respectifs sont amis, Nell Penhalligan et Alice Quince ressentent une violente inimitié l'une pour l'autre dès leur première rencontre. Mais, lorsque la tragédie menace, les deux femmes se serrent les coudes."
Comment ai-je découvert ce livre ? On me l'a prêté
Mon avis : J’avais des à priori positifs concernant ce livre puisque j’avais adoré La dernière valse de Mathilda de cette même auteure. Finalement je ressors plutôt mitigée de ma lecture. J’ai eu vraiment du mal à me mettre dans l’histoire et à suivre le fil des évènements, à la fois au commencement du livre, et après chaque pause que je faisais. C’est pourquoi j’ai mis du temps à le lire, d’autant plus qu’il est assez long en terme de pages, mais également dans la façon dont est décrite l’histoire. De plus, j’ai été assez perdue et dérangée par le style de narration. En effet l’histoire met en parallèle les très nombreux personnages sans vraiment les lier ou même comprendre leurs liens et ce, presque jusqu’à la fin du roman. Cela dit je ne dirais pas que c’est un mauvais roman. Il est très poignant, d’autant plus qu’il est basé sur des évènements dramatiques qui ont fait l’histoire du colonialisme en Australie. D’ailleurs l’auteure, bien qu’australienne, est lucide sur la dure réalité, les erreurs, et la violence de cette période, et elle le fait très bien sentir dans son roman. Si vous aimez les romans avec une trame historique, lancez-vous, il vous plaira.