L'actualité sur Les Sphinx

livre de Grisélidis Réal

Résumé : Les sphinx constituent la suite directe, mais longtemps différée, de La passe imaginaire. Entre ces deux volumes, il y a un blanc de presque dix années. Entre-temps, Grisélidis Réal a abandonné la prostitution et se sait atteinte du cancer qui l'emportera en mai 2005. Sa correspondance avec Jean-Luc Hennig, qui reprend en mai 2002, s'inscrit désormais dans un nouveau contexte, celui d'une lutte contre la maladie, son emprise mentale, ses camisoles chimiques, ses contraintes quotidiennes. Ce cancer en voie de généralisation est ainsi conçu par Grisélidis comme un champ de bataille physiologique, social et politique, mais aussi comme un nouveau terrain d'aventures psychiques. Il libère en elle souvenirs, fureurs, obsessions, remords et rêveries morphiniques, au gré des rémissions et rechutes. Cette série de lettres inédites conserve donc tout du lyrisme sensualiste, de la rage éthique et de la folle curiosité qui illuminaient La passe imaginaire, tout en y ajoutant une dimension supplémentaire : celle du rapport à l'« inéluctable échéance ». Sous cet angle, il s'agit bien d'un document rare : la mort au quotidien, prise sur le vif, moquée, combattue et acceptée, dans la chronique détaillée d'un corps mis à mal. Cette longue « phase terminale » va conduire l'écriture de Grisélidis Réal dans les derniers retranchements de ses fantasmes et de ses révoltes, au coeur des énigmes secrètes d'une femme exceptionnelle.

livre de Grisélidis Réal

Résumé : Les sphinx constituent la suite directe, mais longtemps différée, de La passe imaginaire. Entre ces deux volumes, il y a un blanc de presque dix années. Entre-temps, Grisélidis Réal a abandonné la prostitution et se sait atteinte du cancer qui l'emportera en mai 2005. Sa correspondance avec Jean-Luc Hennig, qui reprend en mai 2002, s'inscrit désormais dans un nouveau contexte, celui d'une lutte contre la maladie, son emprise mentale, ses camisoles chimiques, ses contraintes quotidiennes. Ce cancer en voie de généralisation est ainsi conçu par Grisélidis comme un champ de bataille physiologique, social et politique, mais aussi comme un nouveau terrain d'aventures psychiques. Il libère en elle souvenirs, fureurs, obsessions, remords et rêveries morphiniques, au gré des rémissions et rechutes. Cette série de lettres inédites conserve donc tout du lyrisme sensualiste, de la rage éthique et de la folle curiosité qui illuminaient La passe imaginaire, tout en y ajoutant une dimension supplémentaire : celle du rapport à l'« inéluctable échéance ». Sous cet angle, il s'agit bien d'un document rare : la mort au quotidien, prise sur le vif, moquée, combattue et acceptée, dans la chronique détaillée d'un corps mis à mal. Cette longue « phase terminale » va conduire l'écriture de Grisélidis Réal dans les derniers retranchements de ses fantasmes et de ses révoltes, au coeur des énigmes secrètes d'une femme exceptionnelle.

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Résumé : Les sphinx constituent la suite directe, mais longtemps différée, de La passe imaginaire. Entre ces deux volumes, il y a un blanc de presque dix années. Entre-temps, Grisélidis Réal a abandonné la prostitution et se sait atteinte du cancer qui l'emportera en mai 2005. Sa correspondance avec Jean-Luc Hennig, qui reprend en mai 2002, s'inscrit désormais dans un nouveau contexte, celui d'une lutte contre la maladie, son emprise mentale, ses camisoles chimiques, ses contraintes quotidiennes. Ce cancer en voie de généralisation est ainsi conçu par Grisélidis comme un champ de bataille physiologique, social et politique, mais aussi comme un nouveau terrain d'aventures psychiques. Il libère en elle souvenirs, fureurs, obsessions, remords et rêveries morphiniques, au gré des rémissions et rechutes. Cette série de lettres inédites conserve donc tout du lyrisme sensualiste, de la rage éthique et de la folle curiosité qui illuminaient La passe imaginaire, tout en y ajoutant une dimension supplémentaire : celle du rapport à l'« inéluctable échéance ». Sous cet angle, il s'agit bien d'un document rare : la mort au quotidien, prise sur le vif, moquée, combattue et acceptée, dans la chronique détaillée d'un corps mis à mal. Cette longue « phase terminale » va conduire l'écriture de Grisélidis Réal dans les derniers retranchements de ses fantasmes et de ses révoltes, au coeur des énigmes secrètes d'une femme exceptionnelle.

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Résumé : Les sphinx constituent la suite directe, mais longtemps différée, de La passe imaginaire. Entre ces deux volumes, il y a un blanc de presque dix années. Entre-temps, Grisélidis Réal a abandonné la prostitution et se sait atteinte du cancer qui l'emportera en mai 2005. Sa correspondance avec Jean-Luc Hennig, qui reprend en mai 2002, s'inscrit désormais dans un nouveau contexte, celui d'une lutte contre la maladie, son emprise mentale, ses camisoles chimiques, ses contraintes quotidiennes. Ce cancer en voie de généralisation est ainsi conçu par Grisélidis comme un champ de bataille physiologique, social et politique, mais aussi comme un nouveau terrain d'aventures psychiques. Il libère en elle souvenirs, fureurs, obsessions, remords et rêveries morphiniques, au gré des rémissions et rechutes. Cette série de lettres inédites conserve donc tout du lyrisme sensualiste, de la rage éthique et de la folle curiosité qui illuminaient La passe imaginaire, tout en y ajoutant une dimension supplémentaire : celle du rapport à l'« inéluctable échéance ». Sous cet angle, il s'agit bien d'un document rare : la mort au quotidien, prise sur le vif, moquée, combattue et acceptée, dans la chronique détaillée d'un corps mis à mal. Cette longue « phase terminale » va conduire l'écriture de Grisélidis Réal dans les derniers retranchements de ses fantasmes et de ses révoltes, au coeur des énigmes secrètes d'une femme exceptionnelle.

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Résumé : Les sphinx constituent la suite directe, mais longtemps différée, de La passe imaginaire. Entre ces deux volumes, il y a un blanc de presque dix années. Entre-temps, Grisélidis Réal a abandonné la prostitution et se sait atteinte du cancer qui l'emportera en mai 2005. Sa correspondance avec Jean-Luc Hennig, qui reprend en mai 2002, s'inscrit désormais dans un nouveau contexte, celui d'une lutte contre la maladie, son emprise mentale, ses camisoles chimiques, ses contraintes quotidiennes. Ce cancer en voie de généralisation est ainsi conçu par Grisélidis comme un champ de bataille physiologique, social et politique, mais aussi comme un nouveau terrain d'aventures psychiques. Il libère en elle souvenirs, fureurs, obsessions, remords et rêveries morphiniques, au gré des rémissions et rechutes. Cette série de lettres inédites conserve donc tout du lyrisme sensualiste, de la rage éthique et de la folle curiosité qui illuminaient La passe imaginaire, tout en y ajoutant une dimension supplémentaire : celle du rapport à l'« inéluctable échéance ». Sous cet angle, il s'agit bien d'un document rare : la mort au quotidien, prise sur le vif, moquée, combattue et acceptée, dans la chronique détaillée d'un corps mis à mal. Cette longue « phase terminale » va conduire l'écriture de Grisélidis Réal dans les derniers retranchements de ses fantasmes et de ses révoltes, au coeur des énigmes secrètes d'une femme exceptionnelle.