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1998 • livre de Ryû Murakami
Résumé : Que deviennent les hommes lorsque leur propre humanité a fini par déserter ? Victimes d'une solitude extrême, en proie à leurs pulsions violentes, les passants qui hantent Lignes s'entrecroisent, sans que leurs destins s'en trouvent modifiés ou enrichis. Tout au plus pourra-t-on remarquer une cicatrice de plus, un espoir déçu supplémentaire. La désincarnation est telle que Ryû Murakami rend la compassion presque impossible et bien que l'on soit assailli par la froide vacuité de ses personnages, la sympathie à leur égard n'est pas chose évidente. L'exposé n'en est que plus magistral, la stérilité du monde ici dépeint contamine la lecture, hésitant entre vertige et nausée. Lignes est un roman perturbant, car la violence machinale qu'il met en scène n'a ni vocation spectaculaire, ni visée moraliste. Aucune provocation de la part de l'auteur, dont la finesse et la fluidité narrative laissent s'écouler de la façon la plus naturelle possible cette nuit ordinaire à Tokyo. --Lenaïc Gravis & Jocelyn Blériot --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.
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1998 • livre de Ryû Murakami
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1998 • livre de Ryû Murakami
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1998 • livre de Ryû Murakami
Résumé : Que deviennent les hommes lorsque leur propre humanité a fini par déserter ? Victimes d'une solitude extrême, en proie à leurs pulsions violentes, les passants qui hantent Lignes s'entrecroisent, sans que leurs destins s'en trouvent modifiés ou enrichis. Tout au plus pourra-t-on remarquer une cicatrice de plus, un espoir déçu supplémentaire. La désincarnation est telle que Ryû Murakami rend la compassion presque impossible et bien que l'on soit assailli par la froide vacuité de ses personnages, la sympathie à leur égard n'est pas chose évidente. L'exposé n'en est que plus magistral, la stérilité du monde ici dépeint contamine la lecture, hésitant entre vertige et nausée. Lignes est un roman perturbant, car la violence machinale qu'il met en scène n'a ni vocation spectaculaire, ni visée moraliste. Aucune provocation de la part de l'auteur, dont la finesse et la fluidité narrative laissent s'écouler de la façon la plus naturelle possible cette nuit ordinaire à Tokyo. --Lenaïc Gravis & Jocelyn Blériot --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.
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Résumé : Que deviennent les hommes lorsque leur propre humanité a fini par déserter ? Victimes d'une solitude extrême, en proie à leurs pulsions violentes, les passants qui hantent Lignes s'entrecroisent, sans que leurs destins s'en trouvent modifiés ou enrichis. Tout au plus pourra-t-on remarquer une cicatrice de plus, un espoir déçu supplémentaire. La désincarnation est telle que Ryû Murakami rend la compassion presque impossible et bien que l'on soit assailli par la froide vacuité de ses personnages, la sympathie à leur égard n'est pas chose évidente. L'exposé n'en est que plus magistral, la stérilité du monde ici dépeint contamine la lecture, hésitant entre vertige et nausée. Lignes est un roman perturbant, car la violence machinale qu'il met en scène n'a ni vocation spectaculaire, ni visée moraliste. Aucune provocation de la part de l'auteur, dont la finesse et la fluidité narrative laissent s'écouler de la façon la plus naturelle possible cette nuit ordinaire à Tokyo. --Lenaïc Gravis & Jocelyn Blériot --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.
1998 • livre de Ryû Murakami
Résumé : Que deviennent les hommes lorsque leur propre humanité a fini par déserter ? Victimes d'une solitude extrême, en proie à leurs pulsions violentes, les passants qui hantent Lignes s'entrecroisent, sans que leurs destins s'en trouvent modifiés ou enrichis. Tout au plus pourra-t-on remarquer une cicatrice de plus, un espoir déçu supplémentaire. La désincarnation est telle que Ryû Murakami rend la compassion presque impossible et bien que l'on soit assailli par la froide vacuité de ses personnages, la sympathie à leur égard n'est pas chose évidente. L'exposé n'en est que plus magistral, la stérilité du monde ici dépeint contamine la lecture, hésitant entre vertige et nausée. Lignes est un roman perturbant, car la violence machinale qu'il met en scène n'a ni vocation spectaculaire, ni visée moraliste. Aucune provocation de la part de l'auteur, dont la finesse et la fluidité narrative laissent s'écouler de la façon la plus naturelle possible cette nuit ordinaire à Tokyo. --Lenaïc Gravis & Jocelyn Blériot --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.
Le 27 mai 2023
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1998 • livre de Ryû Murakami
Résumé : Que deviennent les hommes lorsque leur propre humanité a fini par déserter ? Victimes d'une solitude extrême, en proie à leurs pulsions violentes, les passants qui hantent Lignes s'entrecroisent, sans que leurs destins s'en trouvent modifiés ou enrichis. Tout au plus pourra-t-on remarquer une cicatrice de plus, un espoir déçu supplémentaire. La désincarnation est telle que Ryû Murakami rend la compassion presque impossible et bien que l'on soit assailli par la froide vacuité de ses personnages, la sympathie à leur égard n'est pas chose évidente. L'exposé n'en est que plus magistral, la stérilité du monde ici dépeint contamine la lecture, hésitant entre vertige et nausée. Lignes est un roman perturbant, car la violence machinale qu'il met en scène n'a ni vocation spectaculaire, ni visée moraliste. Aucune provocation de la part de l'auteur, dont la finesse et la fluidité narrative laissent s'écouler de la façon la plus naturelle possible cette nuit ordinaire à Tokyo. --Lenaïc Gravis & Jocelyn Blériot --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.
1998 • livre de Ryû Murakami
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Résumé : Que deviennent les hommes lorsque leur propre humanité a fini par déserter ? Victimes d'une solitude extrême, en proie à leurs pulsions violentes, les passants qui hantent Lignes s'entrecroisent, sans que leurs destins s'en trouvent modifiés ou enrichis. Tout au plus pourra-t-on remarquer une cicatrice de plus, un espoir déçu supplémentaire. La désincarnation est telle que Ryû Murakami rend la compassion presque impossible et bien que l'on soit assailli par la froide vacuité de ses personnages, la sympathie à leur égard n'est pas chose évidente. L'exposé n'en est que plus magistral, la stérilité du monde ici dépeint contamine la lecture, hésitant entre vertige et nausée. Lignes est un roman perturbant, car la violence machinale qu'il met en scène n'a ni vocation spectaculaire, ni visée moraliste. Aucune provocation de la part de l'auteur, dont la finesse et la fluidité narrative laissent s'écouler de la façon la plus naturelle possible cette nuit ordinaire à Tokyo. --Lenaïc Gravis & Jocelyn Blériot --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.
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