Si, à la base, je ne suis pas ultra friande des romans historiques, je dois avouer qu’après deux coups d’essai, Ray Celestin est en mesure de changer cela. L’ambiance de Mascarade est si parfaitement transmise qu’elle en devient quasi-palpable. Tout comme c’était le cas pour Carnaval, il suffit d’ouvrir le livre pour se retrouver dans un lieu à une époque donnée et en ressentir les parfums, les sonorités, etc. J’étais vraiment plongée dans ce Chicago de 1928 enfumé et en plein bouleversement. Je sentais l’odeur des alcools frelatés de la prohibition, je percevais l’ambiance sulfureuse des soirées dans les clubs, le jazz en pleine explosion, la modernité qui s’installe à grande vitesse, et bien entendu le côté mafieux et gangster si envoûtant et iconique de l’époque. Si historiquement il y a [...]
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