L'actualité sur Ni Dieu ni patron ni mari

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Franckxs

a attribué 8/10 au livre

Ni Dieu ni patron ni mari

Ni dios, ni patrón, ni marido

1896 • livre de La Voz de la Mujer et Hélène Finet

Résumé : « Nous avons décidé de faire entendre notre voix dans le concert social et d’exiger notre part de plaisirs au banquet de la vie. Et comme nous ne voulons dépendre de personne, brandissons nous-mêmes l’étendard rouge et partons au combat… sans dieu ni patron ni mari. » Publié à Buenos Aires en 1896, La Voz de la Mujer est le premier journal anarchiste féministe. Dans ses pages, ses rédactrices proposent de fournir aux femmes prolétaires les outils, théoriques et pratiques, nécessaires à leur émancipation. Partisanes de l’amour libre, elles y expriment leur volonté d’en finir avec toutes formes d’oppressions, qu’elles soient religieuse, capitaliste ou patriarcale.

EvaSara

a attribué 8/10 au livre

Ni Dieu ni patron ni mari

Ni dios, ni patrón, ni marido

1896 • livre de La Voz de la Mujer et Hélène Finet

Résumé : « Nous avons décidé de faire entendre notre voix dans le concert social et d’exiger notre part de plaisirs au banquet de la vie. Et comme nous ne voulons dépendre de personne, brandissons nous-mêmes l’étendard rouge et partons au combat… sans dieu ni patron ni mari. » Publié à Buenos Aires en 1896, La Voz de la Mujer est le premier journal anarchiste féministe. Dans ses pages, ses rédactrices proposent de fournir aux femmes prolétaires les outils, théoriques et pratiques, nécessaires à leur émancipation. Partisanes de l’amour libre, elles y expriment leur volonté d’en finir avec toutes formes d’oppressions, qu’elles soient religieuse, capitaliste ou patriarcale.

chris1099

a attribué 7/10 au livre

Ni Dieu ni patron ni mari

Ni dios, ni patrón, ni marido

1896 • livre de La Voz de la Mujer et Hélène Finet

Résumé : « Nous avons décidé de faire entendre notre voix dans le concert social et d’exiger notre part de plaisirs au banquet de la vie. Et comme nous ne voulons dépendre de personne, brandissons nous-mêmes l’étendard rouge et partons au combat… sans dieu ni patron ni mari. » Publié à Buenos Aires en 1896, La Voz de la Mujer est le premier journal anarchiste féministe. Dans ses pages, ses rédactrices proposent de fournir aux femmes prolétaires les outils, théoriques et pratiques, nécessaires à leur émancipation. Partisanes de l’amour libre, elles y expriment leur volonté d’en finir avec toutes formes d’oppressions, qu’elles soient religieuse, capitaliste ou patriarcale.

kamylle19

a attribué 8/10 au livre

Ni Dieu ni patron ni mari

Ni dios, ni patrón, ni marido

1896 • livre de La Voz de la Mujer et Hélène Finet

Résumé : « Nous avons décidé de faire entendre notre voix dans le concert social et d’exiger notre part de plaisirs au banquet de la vie. Et comme nous ne voulons dépendre de personne, brandissons nous-mêmes l’étendard rouge et partons au combat… sans dieu ni patron ni mari. » Publié à Buenos Aires en 1896, La Voz de la Mujer est le premier journal anarchiste féministe. Dans ses pages, ses rédactrices proposent de fournir aux femmes prolétaires les outils, théoriques et pratiques, nécessaires à leur émancipation. Partisanes de l’amour libre, elles y expriment leur volonté d’en finir avec toutes formes d’oppressions, qu’elles soient religieuse, capitaliste ou patriarcale.

236593

a attribué 10/10 au livre

Ni Dieu ni patron ni mari

Ni dios, ni patrón, ni marido

1896 • livre de La Voz de la Mujer et Hélène Finet

Résumé : « Nous avons décidé de faire entendre notre voix dans le concert social et d’exiger notre part de plaisirs au banquet de la vie. Et comme nous ne voulons dépendre de personne, brandissons nous-mêmes l’étendard rouge et partons au combat… sans dieu ni patron ni mari. » Publié à Buenos Aires en 1896, La Voz de la Mujer est le premier journal anarchiste féministe. Dans ses pages, ses rédactrices proposent de fournir aux femmes prolétaires les outils, théoriques et pratiques, nécessaires à leur émancipation. Partisanes de l’amour libre, elles y expriment leur volonté d’en finir avec toutes formes d’oppressions, qu’elles soient religieuse, capitaliste ou patriarcale.