Par Joseph Bodson
Comme sur la couverture, cela pétille d’humour, léger, léger, sans trop appuyer…Une jeune femme pétrie d’admiration pour son chéri, dont elle admire toutes les sottises (sa machine à café, au bureau,...
Par
le 18 juin 2015
Comme sur la couverture, cela pétille d’humour, léger, léger, sans trop appuyer…Une jeune femme pétrie d’admiration pour son chéri, dont elle admire toutes les sottises (sa machine à café, au bureau, est la seule qui fonctionne, si bien que les secrétaires doivent se servir chez lui…), et d’une naïveté à toute épreuve, prête à croire tous les mensonges, à admettre toutes les excuses. Ajoutez à ce cocktail quelques secrétaires légèrement exotiques, et d’une beauté époustouflante…
Bien sûr, ce qu’elle admire en lui, c’est précisément tout ce qui révulse ses collaborateurs.
Bien sûr, il y a les massages avec une huile spéciale lorsqu’il rentre, épuisé, du bureau. Il arrive même qu’il s’endorme, épuisé, avant la fin du massage.
Mais, pour cette Saint Valentin, ce sera bien différent…Lasse de l’attendre, elle entamera sans lui le guigonlet, entamera un bien beau dialogue avec la photo de Marilyn qui orne leur salon, et elle finira par ouvrir les yeux…On le voit, une comédie grinçante, douce-amère, où l’intérêt ne faiblit pas.
Joseph Bodson
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le 18 juin 2015
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