de la Pologne à New York
J'ai été une grand fan de Isaac Bashevi Singer lorsqu'il racontait les histoires du shtettel, comme lui j'ai un peu de mal à refaire ma vie avec lui à New York : on est en 1947, à New-York, dans la...
Par
le 13 nov. 2010
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes au shtettel et au-delà et Nobélisé
Créée
le 13 nov. 2010
Critique lue 535 fois
D'autres avis sur Ombres sur l'Hudson
J'ai été une grand fan de Isaac Bashevi Singer lorsqu'il racontait les histoires du shtettel, comme lui j'ai un peu de mal à refaire ma vie avec lui à New York : on est en 1947, à New-York, dans la...
Par
le 13 nov. 2010
Du même critique
je ne me souvenais plus que des scènes sur la plage, j'avais oublié combien la lumière est belle dans ce film, combien Dalle, même si le ton est parfois un peu faux, est belle en ingénue qui se...
Par
le 24 juin 2011
14 j'aime
D'abord c'est un film australien, et même qu'il a un petit air néo-zélandais, donc il ne peut pas être mauvais. Ensuite il était une fois un petit cochon nommé Babe. Un fermier, nommé lui-même...
Par
le 19 sept. 2010
12 j'aime
3
Qui ne s'appelle Bagdad Café qu'en français. L'histoire d'une allemande larguée par son mec au milieu de nulle part, quelque part dans un motel entre LA et LV. Et la preuve qu'on peut vivre au...
Par
le 19 oct. 2010
11 j'aime