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2010 • livre de Sam Pink
Résumé : Chicago. Un homme sans âge et sans prénom passe de ruelles en supérettes. Pas de famille, d’emploi, de centres d’intérêt. Juste un colocataire certain d’avoir une tache d’encre sur la nuque et une fille au premier étage de son immeuble avec laquelle il couche parfois. L’essentiel de son temps, qu’il passe entre un sac de couchage à même sa chambre et des allers-retours sans but dans le métro, sert de prétexte à un état des lieux pathétique et bouffon de la vie de jeunes adultes anonymes, moyennement propres et doucement marginaux, abandonnés aux marges des mégapoles étasuniennes. Ce très court roman, raconté au plus sec et au plus robotique, se déploie dans l’interstice entre les fantasmes de son narrateur — apocalypse, chiots à l’accent néerlandais, trous noirs, animateurs de téléachat — et le retour systématique à sa réalité grisâtre : gares trempées de pisse, surfaces autoroutières, espaces verts esseulés, de rares interactions avec les autres misfits du quartier.
"Je me fais la réflexion que si ma vie actuelle sert à me punir pour une vie antérieure, alors je préférerais ne jamais me rencontrer en tant que moi de cette vie antérieure." "C'est le matin et la fille du premier étage a un vrai lit et je fais semblant de dormir dedans. Elle a ses bras autour de moi et elle m'embrasse le dos. Je pense que j'ai de l'acné dans le dos. Bordel je me déteste."
Le 1 oct. 2024
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2010 • livre de Sam Pink
Résumé : Chicago. Un homme sans âge et sans prénom passe de ruelles en supérettes. Pas de famille, d’emploi, de centres d’intérêt. Juste un colocataire certain d’avoir une tache d’encre sur la nuque et une fille au premier étage de son immeuble avec laquelle il couche parfois. L’essentiel de son temps, qu’il passe entre un sac de couchage à même sa chambre et des allers-retours sans but dans le métro, sert de prétexte à un état des lieux pathétique et bouffon de la vie de jeunes adultes anonymes, moyennement propres et doucement marginaux, abandonnés aux marges des mégapoles étasuniennes. Ce très court roman, raconté au plus sec et au plus robotique, se déploie dans l’interstice entre les fantasmes de son narrateur — apocalypse, chiots à l’accent néerlandais, trous noirs, animateurs de téléachat — et le retour systématique à sa réalité grisâtre : gares trempées de pisse, surfaces autoroutières, espaces verts esseulés, de rares interactions avec les autres misfits du quartier.
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2010 • livre de Sam Pink
Résumé : Chicago. Un homme sans âge et sans prénom passe de ruelles en supérettes. Pas de famille, d’emploi, de centres d’intérêt. Juste un colocataire certain d’avoir une tache d’encre sur la nuque et une fille au premier étage de son immeuble avec laquelle il couche parfois. L’essentiel de son temps, qu’il passe entre un sac de couchage à même sa chambre et des allers-retours sans but dans le métro, sert de prétexte à un état des lieux pathétique et bouffon de la vie de jeunes adultes anonymes, moyennement propres et doucement marginaux, abandonnés aux marges des mégapoles étasuniennes. Ce très court roman, raconté au plus sec et au plus robotique, se déploie dans l’interstice entre les fantasmes de son narrateur — apocalypse, chiots à l’accent néerlandais, trous noirs, animateurs de téléachat — et le retour systématique à sa réalité grisâtre : gares trempées de pisse, surfaces autoroutières, espaces verts esseulés, de rares interactions avec les autres misfits du quartier.
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Résumé : Chicago. Un homme sans âge et sans prénom passe de ruelles en supérettes. Pas de famille, d’emploi, de centres d’intérêt. Juste un colocataire certain d’avoir une tache d’encre sur la nuque et une fille au premier étage de son immeuble avec laquelle il couche parfois. L’essentiel de son temps, qu’il passe entre un sac de couchage à même sa chambre et des allers-retours sans but dans le métro, sert de prétexte à un état des lieux pathétique et bouffon de la vie de jeunes adultes anonymes, moyennement propres et doucement marginaux, abandonnés aux marges des mégapoles étasuniennes. Ce très court roman, raconté au plus sec et au plus robotique, se déploie dans l’interstice entre les fantasmes de son narrateur — apocalypse, chiots à l’accent néerlandais, trous noirs, animateurs de téléachat — et le retour systématique à sa réalité grisâtre : gares trempées de pisse, surfaces autoroutières, espaces verts esseulés, de rares interactions avec les autres misfits du quartier.
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Résumé : Chicago. Un homme sans âge et sans prénom passe de ruelles en supérettes. Pas de famille, d’emploi, de centres d’intérêt. Juste un colocataire certain d’avoir une tache d’encre sur la nuque et une fille au premier étage de son immeuble avec laquelle il couche parfois. L’essentiel de son temps, qu’il passe entre un sac de couchage à même sa chambre et des allers-retours sans but dans le métro, sert de prétexte à un état des lieux pathétique et bouffon de la vie de jeunes adultes anonymes, moyennement propres et doucement marginaux, abandonnés aux marges des mégapoles étasuniennes. Ce très court roman, raconté au plus sec et au plus robotique, se déploie dans l’interstice entre les fantasmes de son narrateur — apocalypse, chiots à l’accent néerlandais, trous noirs, animateurs de téléachat — et le retour systématique à sa réalité grisâtre : gares trempées de pisse, surfaces autoroutières, espaces verts esseulés, de rares interactions avec les autres misfits du quartier.
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Résumé : Chicago. Un homme sans âge et sans prénom passe de ruelles en supérettes. Pas de famille, d’emploi, de centres d’intérêt. Juste un colocataire certain d’avoir une tache d’encre sur la nuque et une fille au premier étage de son immeuble avec laquelle il couche parfois. L’essentiel de son temps, qu’il passe entre un sac de couchage à même sa chambre et des allers-retours sans but dans le métro, sert de prétexte à un état des lieux pathétique et bouffon de la vie de jeunes adultes anonymes, moyennement propres et doucement marginaux, abandonnés aux marges des mégapoles étasuniennes. Ce très court roman, raconté au plus sec et au plus robotique, se déploie dans l’interstice entre les fantasmes de son narrateur — apocalypse, chiots à l’accent néerlandais, trous noirs, animateurs de téléachat — et le retour systématique à sa réalité grisâtre : gares trempées de pisse, surfaces autoroutières, espaces verts esseulés, de rares interactions avec les autres misfits du quartier.
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Résumé : Chicago. Un homme sans âge et sans prénom passe de ruelles en supérettes. Pas de famille, d’emploi, de centres d’intérêt. Juste un colocataire certain d’avoir une tache d’encre sur la nuque et une fille au premier étage de son immeuble avec laquelle il couche parfois. L’essentiel de son temps, qu’il passe entre un sac de couchage à même sa chambre et des allers-retours sans but dans le métro, sert de prétexte à un état des lieux pathétique et bouffon de la vie de jeunes adultes anonymes, moyennement propres et doucement marginaux, abandonnés aux marges des mégapoles étasuniennes. Ce très court roman, raconté au plus sec et au plus robotique, se déploie dans l’interstice entre les fantasmes de son narrateur — apocalypse, chiots à l’accent néerlandais, trous noirs, animateurs de téléachat — et le retour systématique à sa réalité grisâtre : gares trempées de pisse, surfaces autoroutières, espaces verts esseulés, de rares interactions avec les autres misfits du quartier.
Le 9 mai 2019
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