Mouais, bof. Je m'attendais à mieux. C'est tellement irrévérencieux que ça en devient lourd ; c'est comme si Gelluck passait tout son livre à nous dire : "Hey, regardez, regardez, je me permets tout", sans y ajouter vraiment un petit quelque chose qui ferait la différence. Par contre, et pour ça respect, il me semble impossible de totalement conspuer l'auteur tant il fait preuve d'auto-dérision, et tant celle-ci s'inscrit dans la matrice de son bouquin. Bref, même si ce n'est pas toujours drôle, il le sait et le dit. Peut-on lui en vouloir d'essayer ?