Ce texte, qui ne devait faire office que de préface, n'est ni réellement une biographie ni un essai sur le travail du traducteur. C'est un long poème en prose, en forme de sensible hommage, qui dresse un portrait d'autant plus subjectif de Melville qu'il s'affranchit des contraintes biographiques et laisse libre court à un fol enthousiasme. On apprend donc assez peu de choses sur l'homme, à peu près rien sur l'auteur, encore moins sur la traduction. C’est à la fois tout autre chose et en même temps bien plus que cela. À ce titre, sa lecture pourrait bien être indispensable à tous les amateurs de Melville et de Giono.
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