L'actualité sur Pourquoi je suis communiste
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2019 • livre de Loïc Chaigneau
Résumé : « S’il y a bien eu et s’il y a, encore aujourd’hui, un capitalisme de la séduction, il faut produire un communisme du sublime. Parce qu’il faut comprendre que tout « je » est d’abord un commun. Celui qui dit « je » est le résultat d’une langue, d’une culture, d’un héritage et des pré-jugés (littéralement) qui l’accompagnent. L’enjeu est alors de révéler à soi ce commun qui me et nous constitue, au lieu d’être dans la simple illusion d’un « je », purement subjectif et individuel. Ce « je » communiste dans une nécessité sociale et vitale, plus que dans une affinité idéologique, est réminiscence de ce qui me fait être en tant que singularité. »
2019 • livre de Loïc Chaigneau
Résumé : « S’il y a bien eu et s’il y a, encore aujourd’hui, un capitalisme de la séduction, il faut produire un communisme du sublime. Parce qu’il faut comprendre que tout « je » est d’abord un commun. Celui qui dit « je » est le résultat d’une langue, d’une culture, d’un héritage et des pré-jugés (littéralement) qui l’accompagnent. L’enjeu est alors de révéler à soi ce commun qui me et nous constitue, au lieu d’être dans la simple illusion d’un « je », purement subjectif et individuel. Ce « je » communiste dans une nécessité sociale et vitale, plus que dans une affinité idéologique, est réminiscence de ce qui me fait être en tant que singularité. »
Mais non, Palpoutine n'est pas comuniste voyons ! Je suis un tyran libéral moi. xD
Le 21 oct. 2021
@Polobreitner Bizarre cette 4ème de couverture ! Un communisme qui ne serait pas international ? Tout part à vau-l'eau...
Le 5 août 2021
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2019 • livre de Loïc Chaigneau
Résumé : « S’il y a bien eu et s’il y a, encore aujourd’hui, un capitalisme de la séduction, il faut produire un communisme du sublime. Parce qu’il faut comprendre que tout « je » est d’abord un commun. Celui qui dit « je » est le résultat d’une langue, d’une culture, d’un héritage et des pré-jugés (littéralement) qui l’accompagnent. L’enjeu est alors de révéler à soi ce commun qui me et nous constitue, au lieu d’être dans la simple illusion d’un « je », purement subjectif et individuel. Ce « je » communiste dans une nécessité sociale et vitale, plus que dans une affinité idéologique, est réminiscence de ce qui me fait être en tant que singularité. »
2019 • livre de Loïc Chaigneau
Résumé : « S’il y a bien eu et s’il y a, encore aujourd’hui, un capitalisme de la séduction, il faut produire un communisme du sublime. Parce qu’il faut comprendre que tout « je » est d’abord un commun. Celui qui dit « je » est le résultat d’une langue, d’une culture, d’un héritage et des pré-jugés (littéralement) qui l’accompagnent. L’enjeu est alors de révéler à soi ce commun qui me et nous constitue, au lieu d’être dans la simple illusion d’un « je », purement subjectif et individuel. Ce « je » communiste dans une nécessité sociale et vitale, plus que dans une affinité idéologique, est réminiscence de ce qui me fait être en tant que singularité. »