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Au grand Sabbat des oiseaux fardés la plume Vinicius De Moraes vole au gré du chantd'une poésie sensuelle et féminine. Soleil couchant des idées psalmodiant la joie triste d'un peuple métisse maint fois agenouillé maint fois ressuscité. Dans le four sacré du pain quotidien, Dieu, le sexe, et la danse nourissent les esprits de son pain imaginaire. Ainsi l'âme en écho du corps se retrouve emplit du pain quotidien d'une sainte transe.
À jamais revolutionnaire, ivre et repu de ses poèmes, étandard constellé des sans grade amoureux.
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Créée
le 7 avr. 2016
Critique lue 164 fois
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