Comme il nous emmenait avec passion dans la vie d’Alexandre Yersin (Peste et Choléra), Patrick Deville nous saisit dans un roman à mi chemin entre sa famille et son pays. L’auteur nous fait le récit intime de ses proches à partir des archives familiales. Par ses parents, il nous raconte les différents visages de la France, les territoires qu’elle a conquis et meurtri. La narration est tellement habile que l’auteur se libère de la chronologie et qu’à aucun moment, nous ne sommes perdu dans la généalogie ni dans les dates et les lieux.
Pour en savoir plus, lisez ma critique sur mon blog Le tourneur de pages, voici le lien https://tourneurdepages.wordpress.com/2017/12/15/taba-taba/