Tempête, c’est le titre de la première « novella » du recueil de J.M.G Le Clézio. La mer du Japon, sombre, effrayante, et profonde y joue quasiment le rôle de personnage principal.
La seconde « novella » de l’ouvrage tranche totalement avec les embruns et le voyage de Tempête puisqu’elle nous ramène dans la grisaille tourbillonnante des banlieues parisiennes.
Les deux récits sont follement poétiques et réactivent des pans entiers de notre matière grise qu’on croyait endormis.
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