The Rain nous plonge dès les premières pages dans son univers apocalyptique, ne nous faisant pas traîner en longueur, et il conservera ce rythme assez intense tout au long de ces presque 400 pages. On ne s’ennuie pas un seul instant, même si l’action est finalement assez absente des 100 premières pages. L’idée est hyper intéressante: la menace vient de la pluie, une seule goutte vous tuera. Cela remet en question toutes nos habitudes et met en lumière l’importance de l’eau pour notre quotidien, et le stress qui découle de cette situation est parfait pour le genre apocalyptique. Car quand la mort peut subvenir via une simple goutte d’eau, c’est d’autant plus angoissant qu’une horde de zombie, car plus invisible et plus omniprésent (surtout en Angleterre où se déroule le récit ^^). J’aurai cependant [...]
Pour lire la suite de cette critique, rendez-vous sur yuyine.be !