J’ai mis un bon mois il me semble à lire le livre – ce qui est assez correct pour une première lecture anglophone, n’est-ce pas ? – et je l’ai beaucoup apprécié. Je ne le mettrai pas en coup de cœur pour la simple et bonne raison que je n’ai pas ressenti autant d’émotions que pour le film, et je pense que c’est dû au fait que c’était en anglais. La lecture, bien que plutôt bien comprise sans s’attarder sur chaque mot ou phrase, était assez difficile et par conséquent parfois un peu hasardeuse, principalement à la fin du livre. Mon cerveau n’en pouvait tout simplement plu – le pauvre, il est pas habitué à l’anglais ! Du coup moins d’émotions, même si je l’ai trouvé très bien.
Le livre comporte uniquement les extraits de journaux des Freedom Writers – nom en référence aux Freedom Riders, militants du mouvement des droits civiques aux États-Unis dans les années 60. On y découvre donc les véritables écrits des lycéens et l’évolution de leur vie au cours de leurs quatre années d’études lycéennes. Les changements sont époustouflants. On ne peut s’attacher précisément aux histoires de chaque personne étant donné que les chapitres ne sont nommés que par des « Diary 1 », mais on perçoit tout à fait ce que leur professeur leur a apportés durant ces études.
https://lectriceassidueendevenir.wordpress.com/2016/02/04/ecrire-pour-exister-freedom-writers-the-freedom-writers-diary/