Un choix douloureux par RepubliqueLivres

J’avais énormément apprécié le précédent tome de cette trilogie. Ce tome le surpasse pour moi, je l’ai lu très rapidement ce week-end tellement j’ai été embarquée dans cette histoire.

L’histoire reprend là où elle s’était arrêtée dans le tome précédent. L’héroïne, Alexia, a survécu à cette bataille mais a perdu son amoureux Tomas. C’est donc l’envie de sauver cet homme qui va guider tout ce livre.

Cette jeune fille apprend au cours de ce roman la chance qu’elle a d’avoir grandi dans le royaume d’Argalone où les femmes sont bien traitées contrairement aux femmes du royaume de Dorduine qui sont traitées pire que du bétail.

Elle apprend aussi à maitriser ses dons mais aussi la vérité sur ses origines qui font d’elle la proie du seigneur de Dorduine. Je n’ai qu’une seule à lui reprocher malgré toutes ces qualités, c’est son entêtement qui été déjà dans le précédent tome mais qui est encore plus présent et je pense que ce côté va lui jouer des tours dans le prochain tome.

Les autres personnages (Maxi, le père de Maxi, la capitaine, Kevin, James, …) sont importants puisqu’ils aident Alexia à tenir le coup et en même temps l’empêche de commettre pas mal d’impair. On découvre aussi une autre facette de ces personnages que je ne n’aurai pas soupçonnés jusque-là. J’ai hâte de les retrouver dans le prochain tome.

L’aventure est donc construite autour du voyage pour aller libérer Tomas. La romance est très peu présente puisqu’il est absent. Mais Maxi, le garçon a qui elle était promise, tente de la séduire mais elle résiste mais n’arrive pas à savoir lequel des deux elle aime réellement. C’est donc à un triangle amoureux, mais pour moi il est tellement au second plan qu’il ne m’a pas dérangé.

C’est toujours un mélange parfait d’épique, de fantasy et de romance qui nous est présenté. La fin nous donne la encore envie de lire la suite puisque c’est comme dans le tome précédent, il s’arrête au beau milieu d’une action clé. Ce livre est un coup de cœur que je vous encourage à découvrir parce qu’il le mérite.