Un si beau soleil pour mourir par Ga Roupe

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Le texte :
John O’Hara est un agent du FBI suspendu par son supérieur hiérarchique et contraint d’aller consulter un psy suite au décès accidentel de sa femme renversé par un chauffeur alcoolisé. La suspension et les visites chez le psy font suite au désir de vengeance développé par John O’Hara. A l’occasion de son congé forcé, il est recruté par un riche businessman pour enquêter sur le meurtre de son fils et de sa toute récente épouse pendant leur lune de miel. Un premier meurtre de jeunes mariés bientôt rejoint par d’autres couples assassinés.
Sarah Brubaker est un agent du FBI lancées sur les traces d’un serial killer qui s’en prend exclusivement aux personnes s’appelant John O’Hara.

Il ne s’agit bien évidemment pas d’une coïncidence et Sarah se rapproche de John pour le mettre sous protection, même si cela signifie pour elle d’être évincée de l’enquête à proprement parler. Les deux francs-tireurs que sont Sarah et John n’en feront bien entendu qu’à leur tête enchainant bourdes et succès dans leurs enquêtes respectives.

Cela finira bien entendu par un happy ending dans lequel les deux serial killers ont stoppés et Sarah et John tombent amoureux l’un de l’autre.

C’est certes très convenu mais c’est tout de même bien ficeler dans le genre suspens. Du vrai page turner comme on dit. Ce n’est pas un sommet de la littérature mais d’un autre côté, ce n’est pas ce qu’on cherche dans ce genre de livre (en tout cas pas moi). Par contre, pour un bon moment de détente, c’est farpait. Alors il est effectivement un peu tard pour vous le conseiller sur la plage cet été (le soleil et le bronzage sont déjà bien loin) mais je peux vous le recommander pour une longue soirée d’hiver, sur votre canapé, un plaid sur les jambes, à côté d’un bon feu de cheminée (ou un radiateur pour les citadins) et avec un petit verre de whisky (ou de ce que vous voulez).