Ça cartoon !
On a parfaitement le droit de ne pas aimer un film, après tout, tout le monde n'a pas le même ressenti. N'empêche que certains arguments de ceux qui vomissent le film (le mot est faible) semblent...
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le 13 févr. 2022
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Nous sommes en 1957. Ecrire de la littérature osée voire légère en ces années-là était une gageure, la censure sous les yeux bienveillants de l'église catholique et du puissant parti communiste s'avérant aussi impitoyable que stupide à ce point qu'il était interdit d'écrire certains mots ! Ainsi on imposa à Sartre de changer le titre de sa pièce "la putain respectueuse" en la "P… respectueuse". Alors les récits se voulant coquins œuvraient par périphrases, par allusions, par suggestions, par ellipses. En 1962 grâce à l'opiniâtreté de Maître Maurice Garçon on put enfin appeler un chat un chat. Mais ce roman-ci date de 1957, il nous conte les aventures d'un groupe de gens sur un yacht, qui se croisent, se décroisent, se séduisent, se rencontrent, se quittent, se réconcilient, mais ça ne parvient pas à passionner, même en sautant des pages, même en le essayant de lire avec l'œil de la nostalgie..
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Créée
le 29 avr. 2020
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Entre ceux qui crachent leur fiel sur le film et ceux qui crient au génie, il faut peut-être raison garder et faire la part des choses. Globalement "Voleuses" est un film sympathique à la vision...
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Il est parfaitement normal que le ressenti face à une œuvre soit différent suivant les spectateurs, mais quand je vois tant de gens crier au chef d'œuvre, je tombe du placard. Au-delà des critères...
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