Autofiction bourgeoise. Annie Ernaux sans l'intérêt sociologique et avec beaucoup moins de style. Agréable à lire sans trop d'intérêt sinon la découverte du désir par l’homo-érotisme. Le récit du rapport à la religion (sujet principal du livre) est traité en pointillé, raccroché artificiellement aux aventures de la narratrice.
Créée
le 16 août 2015
Critique lue 142 fois
D'autres avis sur Une éducation catholique
Autofiction bourgeoise. Annie Ernaux sans l'intérêt sociologique et avec beaucoup moins de style. Agréable à lire sans trop d'intérêt sinon la découverte du désir par l’homo-érotisme. Le récit du...
Par
le 16 août 2015
Du même critique
Il est particulièrement cocasse de venir noter ce livre ici. Alors disons simplement que les livres du comité invisible font grandir la flamme qui brûle dans nos cœurs de révolutionnaires. Mon seul...
Par
le 1 mai 2017
1 j'aime
2
Les combats de Batman, la grimpe de Mirror's Edge, les décors de Mass Effect (bien qu'à Paris) et quelques fois un peu d'Inception. Le scénario vaut vraiment le coup. Le gameplay, un peu moins.
Par
le 29 déc. 2015
Autofiction bourgeoise. Annie Ernaux sans l'intérêt sociologique et avec beaucoup moins de style. Agréable à lire sans trop d'intérêt sinon la découverte du désir par l’homo-érotisme. Le récit du...
Par
le 16 août 2015
