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Ode à la nature que ce roman de Dominic Cooper et plongée dans la vie d'un homme solitaire en perpétuelle recherche de lui-même et de son bien-être.

Demeure néanmoins à la fin de ce roman comme un goût d'inachevé, ne percevant pas après 186 pages l'intérêt du propos de l'auteur si ce n'est que d'être une mise en perspective de la difficulté de la vie et d'envisager qu'il soit autobiographique.

pretender
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le 30 sept. 2010

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Critique de Vers l'aube par pretender

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