A l'inverse du violon tzigane, la littérature de terreur ne supporte pas la médiocrité.
J'ai trouvé ce roman très laborieux, et remarquablement pauvre dans son expression littéraire.
C'est à ce titre seulement qu'il m'a empli d'une épouvante sacrée.
Rien à voir avec Gaiman (à part le "American" du titre, qu'il partage effectivement avec le "American Gods" de Gaiman) ni avec King.
On dirait du Lovecraft "light".
Du Lovecraft pour les Nuls.
C'est affreux de dire ça.
J'espère que Cthulhu va venir me punir.
Comme ça au moins, j'en aurai eu pour mon argent.