Quand Ariel s'applique à piquer des mots teutoniques.
Envie de lui accorder le bénéfice du doute. Ariel se lit super vite et c'est ce que j'ai fait, sans vraiment m'attarder. Je passais d'un texte à l'autre un peu comme un robot. Quatre-vingt pages plus...
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le 15 oct. 2010
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