Ouais ouais ouais ouais ouais ouais ouais ouais ouais ouais ouais ouais...
"Votre honorable seigneurie, vous n'auriez pas des bricoles à nous refiler, n'importe quoi, vos recettes de cuisine favorites, vos disques préférés, vos marques de pyjama de prédilection, vos plantes vertes..."
De toute évidence, c'est le moment pour ceux qui ont des intérêts dans
l'affaire Murakami de battre le fer tant qu'il est chaud, parce que ça faisait longtemps que j'avais pas lu un livre aussi inoffensif et dispensable.
Même pour un "long distance runner", je ne suis pas sûr que ça soit bien palpitant...
Les pages 122 à 124 sont vaguement porteuses d'espoir, mais ceci s'avère n'être malheureusement qu'un mirage...
A la page 117, l'auteur nous révèle sa marque de pompes, mais à la page 135, H.M. cite une autre marque...
A la page 172 nous est révélée la marque de son vélo en titane ...
A la page 51, nous lisons :
" Les gens sont au meilleur d'eux-mêmes à différents moments de la journée, cela dépend. Moi, je suis du matin, sans conteste."
Et à la page peu importe, au hasard, :
" Je ne transpire pas. En fait, je suppose que si, mais le vent violent fait
évaporer ma sueur. En revanche, j'ai soif. Si je ne bois pas assez, je risque la déshydratation."
Ouais, ouais ouais ouais ouais ouais ouais ouais ouais ouais ...
C'était vraiment très intéressant.
Je mets 3/10 parce que je suis un gentil garçon.
Au fond.