Bardot-Gainsbourg, la véritable histoire de Bonnie and Clyde

Fiche technique

Auteurs :

Philippe Crocq, Jean Mareska
Genre : Beau livreDate de publication (pays d'origine) : Parution France : octobre 2008

Éditeur :

Alphée
ISBN : 9782753803329

Résumé : «Je pensais vivre un mélodrame qui se terminerait bien disait Gainsbourg. Je n'avais pas l'habitude des séparations. Je m'étais éloigné des autres dans une fausse gravité pour ne pas faire de peine, mais je m'en foutaisAvec Brigitte, ce fut une opération sans anesthésie. On allait me couper le coeur avec les dents».Ni drame, ni comédie, l'histoire de Brigitte Bardot et de Serge Gainsbourg fut passion. «Summer of Love, Autumn Leaves», une passion qui dure le temps d'un été des fleurs, s'épanouit jusqu'à l'automne et puis se fane.Immortalisé par les chansons d'amour qu'il lui écrira, ce feu follet se transformera en une flamme éternelle. Initiales BB deviendra le titre du livre-souvenirs de Brigitte.De nombreux ouvrages leur sont consacrés séparément, mais aucun ne raconte la vie flamboyante de ce couple mythique. Des semaines plus intenses que des vies entières.Philippe Crocq est journaliste, auteur de romans et de nombreuses biographies. Etienne Roda-Gil, Le maître enchanteur (Flammarion 2005), Joe Dassin, le triomphe et le tourment (Le Rocher 2005), Yves Montand, le temps n'efface rien (Albin Michel 2006).Jean Mareska, producteur, éditeur de musique fut aussi le directeur artistique de Jean-Jacques Goldman et Gilbert Bécaud, entre autres. Avec Philippe Crocq, il est l'auteur de plusieurs ouvrages dont La vie pas toujours rose d'Edith Piaf (Le Rocher 200/), Julio Iglesias, le dernier Conquistador (Alphée 200/) et Frank Sinatra, Entre chiennes et loups (Alphée 2008).Extrait du livre :Volutes à la «Closerie» Cela devait se passer au milieu de l'année 90. Je n'ai jamais eu la mémoire des chiffres, celle des lettres plutôt.Toutefois, ce n'était pas l'hiver où l'on gèle ni l'été où l'on transpire, plutôt une période charnière où la conjoncture générale du temps, comme l'écrivait Thierry Séchan, nous obligeait à prendre un verre à la «Closerie des Lilas».Avec un ami, nous sommes passés, comme convenu, prendre Roda-Gil dans son hôtel demi-particulier, le rez-de-chaussée