L'actualité sur Chronique des indiens Guayaki

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capecarlate

a attribué 9/10 au livre

Chronique des indiens Guayaki

1972 • livre de Pierre Clastres

Résumé : On les appelle Guayaki, "Rats féroces". Eux-mêmes se dénomment Aché, "les Personnes". Silencieux et invisibles, ces nomades parcourent la forêt tropicale à l'est du Paraguay. C'est ce qui leur a permis d'échapper si longtemps au sort de leurs voisins sédentaires : esclavage, mort, disparition. L'auteur a vécu un an dans leur intimité... Les incidents et anecdotes cocasses ou tragiques tracent peu à peu le portrait de ces Guayaki, paillards quand ils peuvent, graves lorsqu'il le faut : fêtes du miel, de l'amour, conflit au sein des bandes, meurtres, sacrifices, anthropophagie (ils se libèrent de leurs défunts en les mangeant). À la douceur succède la cruauté. Cette culture disparue repose sur la fidélité des Indiens à leurs anciens rites, et, au-delà, aux mythes de leur origine et de leur destin, qui suscitent en nous d'étranges échos. Ce livre est une chronique qui n'esquive aucun des problèmes que pose à l'ethnologie cette population indienne. De l'écologie très particulière d'une société de chasseurs à la logique la plus secrète de leur pensée, c'est le tout d'un univers culturel inconnu qui se révèle ici, sous le regard d'un des grands ethnologues français.

King-Jo

a recommandé le livre

et lui a attribué 9/10

Chronique des indiens Guayaki

1972 • livre de Pierre Clastres

Résumé : On les appelle Guayaki, "Rats féroces". Eux-mêmes se dénomment Aché, "les Personnes". Silencieux et invisibles, ces nomades parcourent la forêt tropicale à l'est du Paraguay. C'est ce qui leur a permis d'échapper si longtemps au sort de leurs voisins sédentaires : esclavage, mort, disparition. L'auteur a vécu un an dans leur intimité... Les incidents et anecdotes cocasses ou tragiques tracent peu à peu le portrait de ces Guayaki, paillards quand ils peuvent, graves lorsqu'il le faut : fêtes du miel, de l'amour, conflit au sein des bandes, meurtres, sacrifices, anthropophagie (ils se libèrent de leurs défunts en les mangeant). À la douceur succède la cruauté. Cette culture disparue repose sur la fidélité des Indiens à leurs anciens rites, et, au-delà, aux mythes de leur origine et de leur destin, qui suscitent en nous d'étranges échos. Ce livre est une chronique qui n'esquive aucun des problèmes que pose à l'ethnologie cette population indienne. De l'écologie très particulière d'une société de chasseurs à la logique la plus secrète de leur pensée, c'est le tout d'un univers culturel inconnu qui se révèle ici, sous le regard d'un des grands ethnologues français.

Gracchus Babeuf
Chronique des indiens Guayaki

1972 • livre de Pierre Clastres

Résumé : On les appelle Guayaki, "Rats féroces". Eux-mêmes se dénomment Aché, "les Personnes". Silencieux et invisibles, ces nomades parcourent la forêt tropicale à l'est du Paraguay. C'est ce qui leur a permis d'échapper si longtemps au sort de leurs voisins sédentaires : esclavage, mort, disparition. L'auteur a vécu un an dans leur intimité... Les incidents et anecdotes cocasses ou tragiques tracent peu à peu le portrait de ces Guayaki, paillards quand ils peuvent, graves lorsqu'il le faut : fêtes du miel, de l'amour, conflit au sein des bandes, meurtres, sacrifices, anthropophagie (ils se libèrent de leurs défunts en les mangeant). À la douceur succède la cruauté. Cette culture disparue repose sur la fidélité des Indiens à leurs anciens rites, et, au-delà, aux mythes de leur origine et de leur destin, qui suscitent en nous d'étranges échos. Ce livre est une chronique qui n'esquive aucun des problèmes que pose à l'ethnologie cette population indienne. De l'écologie très particulière d'une société de chasseurs à la logique la plus secrète de leur pensée, c'est le tout d'un univers culturel inconnu qui se révèle ici, sous le regard d'un des grands ethnologues français.

Gabzilla

a attribué 10/10 au livre

Chronique des indiens Guayaki

1972 • livre de Pierre Clastres

Résumé : On les appelle Guayaki, "Rats féroces". Eux-mêmes se dénomment Aché, "les Personnes". Silencieux et invisibles, ces nomades parcourent la forêt tropicale à l'est du Paraguay. C'est ce qui leur a permis d'échapper si longtemps au sort de leurs voisins sédentaires : esclavage, mort, disparition. L'auteur a vécu un an dans leur intimité... Les incidents et anecdotes cocasses ou tragiques tracent peu à peu le portrait de ces Guayaki, paillards quand ils peuvent, graves lorsqu'il le faut : fêtes du miel, de l'amour, conflit au sein des bandes, meurtres, sacrifices, anthropophagie (ils se libèrent de leurs défunts en les mangeant). À la douceur succède la cruauté. Cette culture disparue repose sur la fidélité des Indiens à leurs anciens rites, et, au-delà, aux mythes de leur origine et de leur destin, qui suscitent en nous d'étranges échos. Ce livre est une chronique qui n'esquive aucun des problèmes que pose à l'ethnologie cette population indienne. De l'écologie très particulière d'une société de chasseurs à la logique la plus secrète de leur pensée, c'est le tout d'un univers culturel inconnu qui se révèle ici, sous le regard d'un des grands ethnologues français.

NicV25

a attribué 8/10 au livre

Chronique des indiens Guayaki

1972 • livre de Pierre Clastres

Résumé : On les appelle Guayaki, "Rats féroces". Eux-mêmes se dénomment Aché, "les Personnes". Silencieux et invisibles, ces nomades parcourent la forêt tropicale à l'est du Paraguay. C'est ce qui leur a permis d'échapper si longtemps au sort de leurs voisins sédentaires : esclavage, mort, disparition. L'auteur a vécu un an dans leur intimité... Les incidents et anecdotes cocasses ou tragiques tracent peu à peu le portrait de ces Guayaki, paillards quand ils peuvent, graves lorsqu'il le faut : fêtes du miel, de l'amour, conflit au sein des bandes, meurtres, sacrifices, anthropophagie (ils se libèrent de leurs défunts en les mangeant). À la douceur succède la cruauté. Cette culture disparue repose sur la fidélité des Indiens à leurs anciens rites, et, au-delà, aux mythes de leur origine et de leur destin, qui suscitent en nous d'étranges échos. Ce livre est une chronique qui n'esquive aucun des problèmes que pose à l'ethnologie cette population indienne. De l'écologie très particulière d'une société de chasseurs à la logique la plus secrète de leur pensée, c'est le tout d'un univers culturel inconnu qui se révèle ici, sous le regard d'un des grands ethnologues français.