Le site est de retour en ligne. Cependant, nous effectuons encore des tests et il est possible que le site soit instable durant les prochaines heures. 🙏

Fiche technique

Auteur :

Olivier Leroy
Genre : EssaiDate de publication (pays d'origine) : Parution France : octobre 2008

Éditeur :

François-Xavier de Guibert
ISBN : 9782755402803

Résumé : "J'AI VOULU, en écrivant ces observations, offrir aux professeurs débutants qui en sentiraient le besoin, quelques suggestions sur la manière d'établir leur autorité et de la maintenir. Beaucoup le font d'instinct et c'est le mieux. Ceux-là ne trouveront ici que la satisfaction de voir confirmer théoriquement ce qu'ils ont pratiqué naturellement. D'autres, au contraire, par suite de fautes lourdes, dans les premiers contacts avec leurs élèves, se voient incapables, dans la suite de leur carrière, de faire régner l'ordre dans leur classe. Ce sont des professeurs «coulés», «chahutés», et plusieurs s'y résignent comme à un des inconvénients inéluctables de la profession. Les conseils qui vont suivre sont destinés à réduire, si cela est possible, la proportion de ces carrières gâchées, où l'insuffisance disciplinaire du maître vaut à celui-ci une vie de galérien et retire à ses élèves le plus clair du profit qu'ils pourraient tirer de son enseignement."Extrait du livre :Aussi inquiétants que paraissent sur le papier les chiffres de la violence scolaire, nos écoles ne sont pas des coupe-gorge. La majorité des actes de violence répertoriés dans les statistiques de l'Education nationale représente des «violences verbales». Les établissements où professeurs et élèves arrivent le matin «la peur au ventre» restent, même en 2008, ultraminoritaires. Et pourtant, minimiser le problème de la discipline dans nos écoles serait une grave erreur.En effet, si la sécurité physique de nos professeurs et de nos élèves reste, heureusement, largement garantie, il n'en va pas de même de leur sécurité morale qui subit, depuis des dizaines d'années, des dommages d'une ampleur effrayante. Cette violence ne se concrétise pas toujours par des coups ni par des plaies visibles. Elle ne fait donc l'objet d'aucune comptabilité. Elle n'en représente pas moins un drame très réel pour les victimes, d'autant plus douloureux que c'est leur dignité d'être humain qui est atteinte.Comme l'explique Francis M