Je ne sais pas vraiment ce qui est rebutant dans ce roman. Est-ce le style qui dépasse à peine le niveau d'un journal intime d'une gamine de 16 ans? Ou est-ce la morale complètement décadente que l'auteur essaye de défendre à tout prix, au point-même de falsifier l'islam en en faisant une religion taillée pour les meurs de Sodome et Gomorrhe.
En gros ce qui compte c'est l'amour de Dieu (un concept purement chrétien au passage), pardon d'Allah; et pour le reste tout est permis. De toute manière Allah n'est rien d'autre que le génie bleu d'Alladin dont la présence n'est utile que pour exaucer les souhaits naïfs d'une jeune campagnarde nymphomane qui ne sait distinguer sa droite de sa gauche. Allah n'a pas le droit de se mêler de ma vie, ni de ce que je fais de mon corps(féminisme à deux balles), ce n'est qu'un psychologue muet qui ne peut rien faire d'autre que me réconforter avec son silence, que je prends toujours bien sûr pour un acquiescement.
Oui, parce qu'Allah n'a même pas le droit de s'exprimer, Je parle à sa place, et s'il ose protester alors il n'a qu'à disparaître de Ma vie, comme ce marie cocu qui n'ose proférer un mot à sa femme, de peur qu'elle lui brandisse au visage les papiers de divorce. La belle affaire !!
Je ne sais pas pourquoi j'ai lu ce livre, mais c'est en tout cas une nouvelle description.
Encore un auteur maghrébin à railler de la liste.