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2009 • livre de Guy de Maupassant
Résumé : « Finalement, le vrai sens de cette littérature se trouve dans l'exaltation du préliminaire. Tout comme dans les films de François Truffaut, il y a des jambes de femmes et des espoirs, des nuques et des souffles, mais on s'arrête souvent à la porte des chambres. Dans ces contes, Guy de Maupassant nous parle des baisers, des caresses, des avant-propos incessants de la chose... mais nous ne sommes pas dupes. Tout ces mots n'ont qu'une finalité : celle de la jouissance. »
2009 • livre de Guy de Maupassant
Résumé : « Finalement, le vrai sens de cette littérature se trouve dans l'exaltation du préliminaire. Tout comme dans les films de François Truffaut, il y a des jambes de femmes et des espoirs, des nuques et des souffles, mais on s'arrête souvent à la porte des chambres. Dans ces contes, Guy de Maupassant nous parle des baisers, des caresses, des avant-propos incessants de la chose... mais nous ne sommes pas dupes. Tout ces mots n'ont qu'une finalité : celle de la jouissance. »
@SweetBLUEMOON J'ai juste lu La Parure (ainsi qu' une nouvelle où un homme dans un train boit le lait d'une femme... j'ai oublié le tire.) Il semble avoir une écriture agréable (d'après ce que je me souviens de La Parure). :-)
Le 13 sept. 2020
2009 • livre de Guy de Maupassant
Résumé : « Finalement, le vrai sens de cette littérature se trouve dans l'exaltation du préliminaire. Tout comme dans les films de François Truffaut, il y a des jambes de femmes et des espoirs, des nuques et des souffles, mais on s'arrête souvent à la porte des chambres. Dans ces contes, Guy de Maupassant nous parle des baisers, des caresses, des avant-propos incessants de la chose... mais nous ne sommes pas dupes. Tout ces mots n'ont qu'une finalité : celle de la jouissance. »
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2009 • livre de Guy de Maupassant
Résumé : « Finalement, le vrai sens de cette littérature se trouve dans l'exaltation du préliminaire. Tout comme dans les films de François Truffaut, il y a des jambes de femmes et des espoirs, des nuques et des souffles, mais on s'arrête souvent à la porte des chambres. Dans ces contes, Guy de Maupassant nous parle des baisers, des caresses, des avant-propos incessants de la chose... mais nous ne sommes pas dupes. Tout ces mots n'ont qu'une finalité : celle de la jouissance. »