L'actualité sur Critique de la faculté de juger
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Kritik der Urteilskraft
1790 • livre de Emmanuel Kant
Résumé : La science moderne a chassé de la nature la moindre cause finale. La nature mécaniste de Galilée ou de Descartes n'a plus aucune intention, ni aucun plan caché. Les causes des phénomènes sont devenues strictement matérielles. L'homme peut-il se contenter d'une représentation mécaniste de l'univers ? Dans sa Critique de la faculté de juger (1790), Kant énonce les conditions sous lesquelles la nature peut encore se prêter au jugement finaliste. Ainsi, dans l'expérience esthétique, tout se passe comme si la belle forme venait au devant de l'imagination du sujet qui la contemple, comme si elle avait été produite par son imagination. Dans l'explication du vivant également, la raison ne peut s'empêcher de poser l'unité de fonctionnement de l'organisme comme la fin de l'activité de chaque organe. Dans les deux cas, le finalisme cesse d'être un raisonnement scientifique et devient une simple manière de penser l'expérience. L'irréductibilité de ce mode de pensée témoigne du fait que l'homme, en tant que sujet moral, ne peut faire abstraction, même dans la considération de la nature, d'une interrogation sur les fins. --Paul Klein
“Dites-moi ce que vous pensez de ma nouvelle présentation les coupains ?”
Je fais pareil ahah. J'oublie de liker mais je lis souvent les éclaireurs que je trouve pertinents. Pas forcément besoin de me liker. Me lire c'est déjà très bien (même si un petit like ça fait quand même plaisir) ;)
Le 11 nov. 2024
C'est mieux pour le savoir, oui... Mais je crois que je te like, quand même ?
Le 11 nov. 2024
Oui tu me like ahah t'inquiète pas. Je répondais juste au fait que tu me lis sans forcément liker.
Le 11 nov. 2024
Voir les 9 commentaires
Kritik der Urteilskraft
1790 • livre de Emmanuel Kant
Résumé : La science moderne a chassé de la nature la moindre cause finale. La nature mécaniste de Galilée ou de Descartes n'a plus aucune intention, ni aucun plan caché. Les causes des phénomènes sont devenues strictement matérielles. L'homme peut-il se contenter d'une représentation mécaniste de l'univers ? Dans sa Critique de la faculté de juger (1790), Kant énonce les conditions sous lesquelles la nature peut encore se prêter au jugement finaliste. Ainsi, dans l'expérience esthétique, tout se passe comme si la belle forme venait au devant de l'imagination du sujet qui la contemple, comme si elle avait été produite par son imagination. Dans l'explication du vivant également, la raison ne peut s'empêcher de poser l'unité de fonctionnement de l'organisme comme la fin de l'activité de chaque organe. Dans les deux cas, le finalisme cesse d'être un raisonnement scientifique et devient une simple manière de penser l'expérience. L'irréductibilité de ce mode de pensée témoigne du fait que l'homme, en tant que sujet moral, ne peut faire abstraction, même dans la considération de la nature, d'une interrogation sur les fins. --Paul Klein
Kritik der Urteilskraft
1790 • livre de Emmanuel Kant
Résumé : La science moderne a chassé de la nature la moindre cause finale. La nature mécaniste de Galilée ou de Descartes n'a plus aucune intention, ni aucun plan caché. Les causes des phénomènes sont devenues strictement matérielles. L'homme peut-il se contenter d'une représentation mécaniste de l'univers ? Dans sa Critique de la faculté de juger (1790), Kant énonce les conditions sous lesquelles la nature peut encore se prêter au jugement finaliste. Ainsi, dans l'expérience esthétique, tout se passe comme si la belle forme venait au devant de l'imagination du sujet qui la contemple, comme si elle avait été produite par son imagination. Dans l'explication du vivant également, la raison ne peut s'empêcher de poser l'unité de fonctionnement de l'organisme comme la fin de l'activité de chaque organe. Dans les deux cas, le finalisme cesse d'être un raisonnement scientifique et devient une simple manière de penser l'expérience. L'irréductibilité de ce mode de pensée témoigne du fait que l'homme, en tant que sujet moral, ne peut faire abstraction, même dans la considération de la nature, d'une interrogation sur les fins. --Paul Klein
Kritik der Urteilskraft
1790 • livre de Emmanuel Kant
Résumé : La science moderne a chassé de la nature la moindre cause finale. La nature mécaniste de Galilée ou de Descartes n'a plus aucune intention, ni aucun plan caché. Les causes des phénomènes sont devenues strictement matérielles. L'homme peut-il se contenter d'une représentation mécaniste de l'univers ? Dans sa Critique de la faculté de juger (1790), Kant énonce les conditions sous lesquelles la nature peut encore se prêter au jugement finaliste. Ainsi, dans l'expérience esthétique, tout se passe comme si la belle forme venait au devant de l'imagination du sujet qui la contemple, comme si elle avait été produite par son imagination. Dans l'explication du vivant également, la raison ne peut s'empêcher de poser l'unité de fonctionnement de l'organisme comme la fin de l'activité de chaque organe. Dans les deux cas, le finalisme cesse d'être un raisonnement scientifique et devient une simple manière de penser l'expérience. L'irréductibilité de ce mode de pensée témoigne du fait que l'homme, en tant que sujet moral, ne peut faire abstraction, même dans la considération de la nature, d'une interrogation sur les fins. --Paul Klein
Kritik der Urteilskraft
1790 • livre de Emmanuel Kant
Résumé : La science moderne a chassé de la nature la moindre cause finale. La nature mécaniste de Galilée ou de Descartes n'a plus aucune intention, ni aucun plan caché. Les causes des phénomènes sont devenues strictement matérielles. L'homme peut-il se contenter d'une représentation mécaniste de l'univers ? Dans sa Critique de la faculté de juger (1790), Kant énonce les conditions sous lesquelles la nature peut encore se prêter au jugement finaliste. Ainsi, dans l'expérience esthétique, tout se passe comme si la belle forme venait au devant de l'imagination du sujet qui la contemple, comme si elle avait été produite par son imagination. Dans l'explication du vivant également, la raison ne peut s'empêcher de poser l'unité de fonctionnement de l'organisme comme la fin de l'activité de chaque organe. Dans les deux cas, le finalisme cesse d'être un raisonnement scientifique et devient une simple manière de penser l'expérience. L'irréductibilité de ce mode de pensée témoigne du fait que l'homme, en tant que sujet moral, ne peut faire abstraction, même dans la considération de la nature, d'une interrogation sur les fins. --Paul Klein
Kritik der Urteilskraft
1790 • livre de Emmanuel Kant
Résumé : La science moderne a chassé de la nature la moindre cause finale. La nature mécaniste de Galilée ou de Descartes n'a plus aucune intention, ni aucun plan caché. Les causes des phénomènes sont devenues strictement matérielles. L'homme peut-il se contenter d'une représentation mécaniste de l'univers ? Dans sa Critique de la faculté de juger (1790), Kant énonce les conditions sous lesquelles la nature peut encore se prêter au jugement finaliste. Ainsi, dans l'expérience esthétique, tout se passe comme si la belle forme venait au devant de l'imagination du sujet qui la contemple, comme si elle avait été produite par son imagination. Dans l'explication du vivant également, la raison ne peut s'empêcher de poser l'unité de fonctionnement de l'organisme comme la fin de l'activité de chaque organe. Dans les deux cas, le finalisme cesse d'être un raisonnement scientifique et devient une simple manière de penser l'expérience. L'irréductibilité de ce mode de pensée témoigne du fait que l'homme, en tant que sujet moral, ne peut faire abstraction, même dans la considération de la nature, d'une interrogation sur les fins. --Paul Klein
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Résumé : La science moderne a chassé de la nature la moindre cause finale. La nature mécaniste de Galilée ou de Descartes n'a plus aucune intention, ni aucun plan caché. Les causes des phénomènes sont devenues strictement matérielles. L'homme peut-il se contenter d'une représentation mécaniste de l'univers ? Dans sa Critique de la faculté de juger (1790), Kant énonce les conditions sous lesquelles la nature peut encore se prêter au jugement finaliste. Ainsi, dans l'expérience esthétique, tout se passe comme si la belle forme venait au devant de l'imagination du sujet qui la contemple, comme si elle avait été produite par son imagination. Dans l'explication du vivant également, la raison ne peut s'empêcher de poser l'unité de fonctionnement de l'organisme comme la fin de l'activité de chaque organe. Dans les deux cas, le finalisme cesse d'être un raisonnement scientifique et devient une simple manière de penser l'expérience. L'irréductibilité de ce mode de pensée témoigne du fait que l'homme, en tant que sujet moral, ne peut faire abstraction, même dans la considération de la nature, d'une interrogation sur les fins. --Paul Klein
Kritik der Urteilskraft
1790 • livre de Emmanuel Kant
Résumé : La science moderne a chassé de la nature la moindre cause finale. La nature mécaniste de Galilée ou de Descartes n'a plus aucune intention, ni aucun plan caché. Les causes des phénomènes sont devenues strictement matérielles. L'homme peut-il se contenter d'une représentation mécaniste de l'univers ? Dans sa Critique de la faculté de juger (1790), Kant énonce les conditions sous lesquelles la nature peut encore se prêter au jugement finaliste. Ainsi, dans l'expérience esthétique, tout se passe comme si la belle forme venait au devant de l'imagination du sujet qui la contemple, comme si elle avait été produite par son imagination. Dans l'explication du vivant également, la raison ne peut s'empêcher de poser l'unité de fonctionnement de l'organisme comme la fin de l'activité de chaque organe. Dans les deux cas, le finalisme cesse d'être un raisonnement scientifique et devient une simple manière de penser l'expérience. L'irréductibilité de ce mode de pensée témoigne du fait que l'homme, en tant que sujet moral, ne peut faire abstraction, même dans la considération de la nature, d'une interrogation sur les fins. --Paul Klein
Kritik der Urteilskraft
1790 • livre de Emmanuel Kant
Résumé : La science moderne a chassé de la nature la moindre cause finale. La nature mécaniste de Galilée ou de Descartes n'a plus aucune intention, ni aucun plan caché. Les causes des phénomènes sont devenues strictement matérielles. L'homme peut-il se contenter d'une représentation mécaniste de l'univers ? Dans sa Critique de la faculté de juger (1790), Kant énonce les conditions sous lesquelles la nature peut encore se prêter au jugement finaliste. Ainsi, dans l'expérience esthétique, tout se passe comme si la belle forme venait au devant de l'imagination du sujet qui la contemple, comme si elle avait été produite par son imagination. Dans l'explication du vivant également, la raison ne peut s'empêcher de poser l'unité de fonctionnement de l'organisme comme la fin de l'activité de chaque organe. Dans les deux cas, le finalisme cesse d'être un raisonnement scientifique et devient une simple manière de penser l'expérience. L'irréductibilité de ce mode de pensée témoigne du fait que l'homme, en tant que sujet moral, ne peut faire abstraction, même dans la considération de la nature, d'une interrogation sur les fins. --Paul Klein
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1790 • livre de Emmanuel Kant
Résumé : La science moderne a chassé de la nature la moindre cause finale. La nature mécaniste de Galilée ou de Descartes n'a plus aucune intention, ni aucun plan caché. Les causes des phénomènes sont devenues strictement matérielles. L'homme peut-il se contenter d'une représentation mécaniste de l'univers ? Dans sa Critique de la faculté de juger (1790), Kant énonce les conditions sous lesquelles la nature peut encore se prêter au jugement finaliste. Ainsi, dans l'expérience esthétique, tout se passe comme si la belle forme venait au devant de l'imagination du sujet qui la contemple, comme si elle avait été produite par son imagination. Dans l'explication du vivant également, la raison ne peut s'empêcher de poser l'unité de fonctionnement de l'organisme comme la fin de l'activité de chaque organe. Dans les deux cas, le finalisme cesse d'être un raisonnement scientifique et devient une simple manière de penser l'expérience. L'irréductibilité de ce mode de pensée témoigne du fait que l'homme, en tant que sujet moral, ne peut faire abstraction, même dans la considération de la nature, d'une interrogation sur les fins. --Paul Klein