L'actualité sur De Pictura

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harryblz

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De Pictura

1435 • livre de Leon Battista Alberti

Résumé : Il existe plusieurs versions du De Pictura. Rédigé d'abord en toscan en 1435, Alberti le reprit et l'améliora entre 1439 et 1441 lorsqu'il le traduisit en latin. C'est cette version, la plus complète, que nous donnons ici, accompagnée d'un appareil critique et d'une iconographie qui rendent justice à ce traité qui, depuis plus de cinq siècles constitue une référence majeure de la réflexion esthétique. L'ouvrage est divisé en trois parties: la première est consacrée à l'artifice au service de la peinture. Alberti y fait passer le fruit de ses recherches en optique dans le champ pictural et expose les lois de la perspective géométrique, dont l'application allait révolutionner la peinture. Il définit en termes mathématiques les lignes, les angles et les surfaces. La seconde s'attache à l'art du peintre. Alberti y traite de la circonscription, de la composition et de la réception des lumières. Il reconnaît quatre couleurs fondamentales, le rouge, le bleu, le vert, le gris, qu'il compare aux quatre éléments. La dernière pose les bases de la réflexion sur le statut nouveau de l'artiste qui va se dessiner au cours du Quattrocento. Ainsi, avec le De Pictura, Alberti a formulé, ordonné et explicité, dans un langage théorique et communicable, un grand nombre de données fondamentales en peinture, ouvrant une ère nouvelle à la fois pour la définition du beau et la place des artistes au sein de la cité. Son traité, qui introduit l'esprit rationaliste dans l'esthétique, marque la sortie de l'ère proprement religieuse. Mais, tout en expliquant comment le beau répond à certaines lois bien précises, jam

Mega_Doggo

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S_Lenaerts

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De Pictura

1435 • livre de Leon Battista Alberti

Résumé : Il existe plusieurs versions du De Pictura. Rédigé d'abord en toscan en 1435, Alberti le reprit et l'améliora entre 1439 et 1441 lorsqu'il le traduisit en latin. C'est cette version, la plus complète, que nous donnons ici, accompagnée d'un appareil critique et d'une iconographie qui rendent justice à ce traité qui, depuis plus de cinq siècles constitue une référence majeure de la réflexion esthétique. L'ouvrage est divisé en trois parties: la première est consacrée à l'artifice au service de la peinture. Alberti y fait passer le fruit de ses recherches en optique dans le champ pictural et expose les lois de la perspective géométrique, dont l'application allait révolutionner la peinture. Il définit en termes mathématiques les lignes, les angles et les surfaces. La seconde s'attache à l'art du peintre. Alberti y traite de la circonscription, de la composition et de la réception des lumières. Il reconnaît quatre couleurs fondamentales, le rouge, le bleu, le vert, le gris, qu'il compare aux quatre éléments. La dernière pose les bases de la réflexion sur le statut nouveau de l'artiste qui va se dessiner au cours du Quattrocento. Ainsi, avec le De Pictura, Alberti a formulé, ordonné et explicité, dans un langage théorique et communicable, un grand nombre de données fondamentales en peinture, ouvrant une ère nouvelle à la fois pour la définition du beau et la place des artistes au sein de la cité. Son traité, qui introduit l'esprit rationaliste dans l'esthétique, marque la sortie de l'ère proprement religieuse. Mais, tout en expliquant comment le beau répond à certaines lois bien précises, jam

Huon

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Rubedo

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Rubedo

non mais ce fdp veut me dire ce que je dois faire, redescends gros !

Le 22 oct. 2023

mert

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De Pictura

1435 • livre de Leon Battista Alberti

Résumé : Il existe plusieurs versions du De Pictura. Rédigé d'abord en toscan en 1435, Alberti le reprit et l'améliora entre 1439 et 1441 lorsqu'il le traduisit en latin. C'est cette version, la plus complète, que nous donnons ici, accompagnée d'un appareil critique et d'une iconographie qui rendent justice à ce traité qui, depuis plus de cinq siècles constitue une référence majeure de la réflexion esthétique. L'ouvrage est divisé en trois parties: la première est consacrée à l'artifice au service de la peinture. Alberti y fait passer le fruit de ses recherches en optique dans le champ pictural et expose les lois de la perspective géométrique, dont l'application allait révolutionner la peinture. Il définit en termes mathématiques les lignes, les angles et les surfaces. La seconde s'attache à l'art du peintre. Alberti y traite de la circonscription, de la composition et de la réception des lumières. Il reconnaît quatre couleurs fondamentales, le rouge, le bleu, le vert, le gris, qu'il compare aux quatre éléments. La dernière pose les bases de la réflexion sur le statut nouveau de l'artiste qui va se dessiner au cours du Quattrocento. Ainsi, avec le De Pictura, Alberti a formulé, ordonné et explicité, dans un langage théorique et communicable, un grand nombre de données fondamentales en peinture, ouvrant une ère nouvelle à la fois pour la définition du beau et la place des artistes au sein de la cité. Son traité, qui introduit l'esprit rationaliste dans l'esthétique, marque la sortie de l'ère proprement religieuse. Mais, tout en expliquant comment le beau répond à certaines lois bien précises, jam

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De Pictura

1435 • livre de Leon Battista Alberti

Résumé : Il existe plusieurs versions du De Pictura. Rédigé d'abord en toscan en 1435, Alberti le reprit et l'améliora entre 1439 et 1441 lorsqu'il le traduisit en latin. C'est cette version, la plus complète, que nous donnons ici, accompagnée d'un appareil critique et d'une iconographie qui rendent justice à ce traité qui, depuis plus de cinq siècles constitue une référence majeure de la réflexion esthétique. L'ouvrage est divisé en trois parties: la première est consacrée à l'artifice au service de la peinture. Alberti y fait passer le fruit de ses recherches en optique dans le champ pictural et expose les lois de la perspective géométrique, dont l'application allait révolutionner la peinture. Il définit en termes mathématiques les lignes, les angles et les surfaces. La seconde s'attache à l'art du peintre. Alberti y traite de la circonscription, de la composition et de la réception des lumières. Il reconnaît quatre couleurs fondamentales, le rouge, le bleu, le vert, le gris, qu'il compare aux quatre éléments. La dernière pose les bases de la réflexion sur le statut nouveau de l'artiste qui va se dessiner au cours du Quattrocento. Ainsi, avec le De Pictura, Alberti a formulé, ordonné et explicité, dans un langage théorique et communicable, un grand nombre de données fondamentales en peinture, ouvrant une ère nouvelle à la fois pour la définition du beau et la place des artistes au sein de la cité. Son traité, qui introduit l'esprit rationaliste dans l'esthétique, marque la sortie de l'ère proprement religieuse. Mais, tout en expliquant comment le beau répond à certaines lois bien précises, jam

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1435 • livre de Leon Battista Alberti

Résumé : Il existe plusieurs versions du De Pictura. Rédigé d'abord en toscan en 1435, Alberti le reprit et l'améliora entre 1439 et 1441 lorsqu'il le traduisit en latin. C'est cette version, la plus complète, que nous donnons ici, accompagnée d'un appareil critique et d'une iconographie qui rendent justice à ce traité qui, depuis plus de cinq siècles constitue une référence majeure de la réflexion esthétique. L'ouvrage est divisé en trois parties: la première est consacrée à l'artifice au service de la peinture. Alberti y fait passer le fruit de ses recherches en optique dans le champ pictural et expose les lois de la perspective géométrique, dont l'application allait révolutionner la peinture. Il définit en termes mathématiques les lignes, les angles et les surfaces. La seconde s'attache à l'art du peintre. Alberti y traite de la circonscription, de la composition et de la réception des lumières. Il reconnaît quatre couleurs fondamentales, le rouge, le bleu, le vert, le gris, qu'il compare aux quatre éléments. La dernière pose les bases de la réflexion sur le statut nouveau de l'artiste qui va se dessiner au cours du Quattrocento. Ainsi, avec le De Pictura, Alberti a formulé, ordonné et explicité, dans un langage théorique et communicable, un grand nombre de données fondamentales en peinture, ouvrant une ère nouvelle à la fois pour la définition du beau et la place des artistes au sein de la cité. Son traité, qui introduit l'esprit rationaliste dans l'esthétique, marque la sortie de l'ère proprement religieuse. Mais, tout en expliquant comment le beau répond à certaines lois bien précises, jam

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De Pictura

1435 • livre de Leon Battista Alberti

Résumé : Il existe plusieurs versions du De Pictura. Rédigé d'abord en toscan en 1435, Alberti le reprit et l'améliora entre 1439 et 1441 lorsqu'il le traduisit en latin. C'est cette version, la plus complète, que nous donnons ici, accompagnée d'un appareil critique et d'une iconographie qui rendent justice à ce traité qui, depuis plus de cinq siècles constitue une référence majeure de la réflexion esthétique. L'ouvrage est divisé en trois parties: la première est consacrée à l'artifice au service de la peinture. Alberti y fait passer le fruit de ses recherches en optique dans le champ pictural et expose les lois de la perspective géométrique, dont l'application allait révolutionner la peinture. Il définit en termes mathématiques les lignes, les angles et les surfaces. La seconde s'attache à l'art du peintre. Alberti y traite de la circonscription, de la composition et de la réception des lumières. Il reconnaît quatre couleurs fondamentales, le rouge, le bleu, le vert, le gris, qu'il compare aux quatre éléments. La dernière pose les bases de la réflexion sur le statut nouveau de l'artiste qui va se dessiner au cours du Quattrocento. Ainsi, avec le De Pictura, Alberti a formulé, ordonné et explicité, dans un langage théorique et communicable, un grand nombre de données fondamentales en peinture, ouvrant une ère nouvelle à la fois pour la définition du beau et la place des artistes au sein de la cité. Son traité, qui introduit l'esprit rationaliste dans l'esthétique, marque la sortie de l'ère proprement religieuse. Mais, tout en expliquant comment le beau répond à certaines lois bien précises, jam

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