L'actualité sur Démocratie, le dieu qui a échoué

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MetalliCHAOS
MetalliCHAOS

Un ouvrage (et un penseur que je ne connaissais pas) recommandé par une force de la nature qui a réexpédié l'orgueil républicain tricolore d'où il provient : c'est à dire dans les chiottes de l'histoire.

Le 29 sept. 2024

Polyde

Je ne sais pas si ça va être ta tasse de thé, mais en ce qui mr concerne, j'aime beaucoup.

Le 29 sept. 2024

Polyde

Je suis d'ailleurs le créateur de la fiche SC, héhé.

Le 29 sept. 2024

Septimius
Démocratie, le dieu qui a échoué

Democracy: The God That Failed

2001 • livre de Hans-Hermann Hoppe

Résumé : Le cœur de ce livre est un traitement systématique de la transformation historique de l’Occident de la monarchie à la démocratie. De nature révisionniste, il parvient à la conclusion que la monarchie est un mal moindre que la démocratie, tout en soulignant les défaillances de chacune. Sa méthodologie est axiomatique-déductive, permettant à l’auteur de déduire des théorèmes économiques et sociologiques, puis de les appliquer pour interpréter les événements historiques. Un chapitre captivant sur la préférence temporelle décrit les progrès de la civilisation comme la baisse des préférences temporelles accompagnant la construction de la structure du capital, et explique comment l’interaction des gens peut réduire les préférences temporelles de tous, avec des parallèles d’intérêt avec la loi ricardienne d’association. Se concentrant sur cette transformation, l’auteur arrive à interpréter de nombreux phénomènes historiques, telles la hausse des niveaux de crime, la dégénérescence des normes de conduite et de moralité, et la croissance du super-État. Soulignant les déficiences de la monarchie et de la démocratie, l’auteur montre comment ces systèmes sont tous deux inférieurs à un ordre naturel basé sur la propriété privée. Hoppe déconstruit la croyance libérale classique de la possibilité d’un État limité et appelle à une convergence du conservatisme et du libertarianisme comme alliés naturels aux objectifs communs. Il défend la pertinence du rôle de la production de la sécurité apportée par l’entreprise de compagnies d’assurance sur un marché libre, et décrit l’émergence du droit privé entre assureurs concurrents. Ayant établi un ordre naturel comme supérieur aux bases utilitaristes, l’auteur poursuit en évaluant les perspectives de réaliser un ordre naturel. Éclairé par son analyse des déficiences de la social-démocratie, et armé de la théorie sociale de la légitimation, il entrevoit la sécession comme avenir probable des États-Unis et de l’Europe, aboutissant à une multitude de régions et de villes-États. Ce livre complète les travaux précédents de l’auteur défendant l’éthique de la propriété privée et de l’ordre naturel. Démocratie, le dieu qui a échoué intéressera les érudits et les étudiants en histoire, en économie politique et en philosophie politique.

Septimius
Démocratie, le dieu qui a échoué

Democracy: The God That Failed

2001 • livre de Hans-Hermann Hoppe

Résumé : Le cœur de ce livre est un traitement systématique de la transformation historique de l’Occident de la monarchie à la démocratie. De nature révisionniste, il parvient à la conclusion que la monarchie est un mal moindre que la démocratie, tout en soulignant les défaillances de chacune. Sa méthodologie est axiomatique-déductive, permettant à l’auteur de déduire des théorèmes économiques et sociologiques, puis de les appliquer pour interpréter les événements historiques. Un chapitre captivant sur la préférence temporelle décrit les progrès de la civilisation comme la baisse des préférences temporelles accompagnant la construction de la structure du capital, et explique comment l’interaction des gens peut réduire les préférences temporelles de tous, avec des parallèles d’intérêt avec la loi ricardienne d’association. Se concentrant sur cette transformation, l’auteur arrive à interpréter de nombreux phénomènes historiques, telles la hausse des niveaux de crime, la dégénérescence des normes de conduite et de moralité, et la croissance du super-État. Soulignant les déficiences de la monarchie et de la démocratie, l’auteur montre comment ces systèmes sont tous deux inférieurs à un ordre naturel basé sur la propriété privée. Hoppe déconstruit la croyance libérale classique de la possibilité d’un État limité et appelle à une convergence du conservatisme et du libertarianisme comme alliés naturels aux objectifs communs. Il défend la pertinence du rôle de la production de la sécurité apportée par l’entreprise de compagnies d’assurance sur un marché libre, et décrit l’émergence du droit privé entre assureurs concurrents. Ayant établi un ordre naturel comme supérieur aux bases utilitaristes, l’auteur poursuit en évaluant les perspectives de réaliser un ordre naturel. Éclairé par son analyse des déficiences de la social-démocratie, et armé de la théorie sociale de la légitimation, il entrevoit la sécession comme avenir probable des États-Unis et de l’Europe, aboutissant à une multitude de régions et de villes-États. Ce livre complète les travaux précédents de l’auteur défendant l’éthique de la propriété privée et de l’ordre naturel. Démocratie, le dieu qui a échoué intéressera les érudits et les étudiants en histoire, en économie politique et en philosophie politique.

Essence-Fondamentale

a recommandé le livre

et lui a attribué 9/10

Démocratie, le dieu qui a échoué

Democracy: The God That Failed

2001 • livre de Hans-Hermann Hoppe

Résumé : Le cœur de ce livre est un traitement systématique de la transformation historique de l’Occident de la monarchie à la démocratie. De nature révisionniste, il parvient à la conclusion que la monarchie est un mal moindre que la démocratie, tout en soulignant les défaillances de chacune. Sa méthodologie est axiomatique-déductive, permettant à l’auteur de déduire des théorèmes économiques et sociologiques, puis de les appliquer pour interpréter les événements historiques. Un chapitre captivant sur la préférence temporelle décrit les progrès de la civilisation comme la baisse des préférences temporelles accompagnant la construction de la structure du capital, et explique comment l’interaction des gens peut réduire les préférences temporelles de tous, avec des parallèles d’intérêt avec la loi ricardienne d’association. Se concentrant sur cette transformation, l’auteur arrive à interpréter de nombreux phénomènes historiques, telles la hausse des niveaux de crime, la dégénérescence des normes de conduite et de moralité, et la croissance du super-État. Soulignant les déficiences de la monarchie et de la démocratie, l’auteur montre comment ces systèmes sont tous deux inférieurs à un ordre naturel basé sur la propriété privée. Hoppe déconstruit la croyance libérale classique de la possibilité d’un État limité et appelle à une convergence du conservatisme et du libertarianisme comme alliés naturels aux objectifs communs. Il défend la pertinence du rôle de la production de la sécurité apportée par l’entreprise de compagnies d’assurance sur un marché libre, et décrit l’émergence du droit privé entre assureurs concurrents. Ayant établi un ordre naturel comme supérieur aux bases utilitaristes, l’auteur poursuit en évaluant les perspectives de réaliser un ordre naturel. Éclairé par son analyse des déficiences de la social-démocratie, et armé de la théorie sociale de la légitimation, il entrevoit la sécession comme avenir probable des États-Unis et de l’Europe, aboutissant à une multitude de régions et de villes-États. Ce livre complète les travaux précédents de l’auteur défendant l’éthique de la propriété privée et de l’ordre naturel. Démocratie, le dieu qui a échoué intéressera les érudits et les étudiants en histoire, en économie politique et en philosophie politique.

Adanberos
Démocratie, le dieu qui a échoué

Democracy: The God That Failed

2001 • livre de Hans-Hermann Hoppe

Résumé : Le cœur de ce livre est un traitement systématique de la transformation historique de l’Occident de la monarchie à la démocratie. De nature révisionniste, il parvient à la conclusion que la monarchie est un mal moindre que la démocratie, tout en soulignant les défaillances de chacune. Sa méthodologie est axiomatique-déductive, permettant à l’auteur de déduire des théorèmes économiques et sociologiques, puis de les appliquer pour interpréter les événements historiques. Un chapitre captivant sur la préférence temporelle décrit les progrès de la civilisation comme la baisse des préférences temporelles accompagnant la construction de la structure du capital, et explique comment l’interaction des gens peut réduire les préférences temporelles de tous, avec des parallèles d’intérêt avec la loi ricardienne d’association. Se concentrant sur cette transformation, l’auteur arrive à interpréter de nombreux phénomènes historiques, telles la hausse des niveaux de crime, la dégénérescence des normes de conduite et de moralité, et la croissance du super-État. Soulignant les déficiences de la monarchie et de la démocratie, l’auteur montre comment ces systèmes sont tous deux inférieurs à un ordre naturel basé sur la propriété privée. Hoppe déconstruit la croyance libérale classique de la possibilité d’un État limité et appelle à une convergence du conservatisme et du libertarianisme comme alliés naturels aux objectifs communs. Il défend la pertinence du rôle de la production de la sécurité apportée par l’entreprise de compagnies d’assurance sur un marché libre, et décrit l’émergence du droit privé entre assureurs concurrents. Ayant établi un ordre naturel comme supérieur aux bases utilitaristes, l’auteur poursuit en évaluant les perspectives de réaliser un ordre naturel. Éclairé par son analyse des déficiences de la social-démocratie, et armé de la théorie sociale de la légitimation, il entrevoit la sécession comme avenir probable des États-Unis et de l’Europe, aboutissant à une multitude de régions et de villes-États. Ce livre complète les travaux précédents de l’auteur défendant l’éthique de la propriété privée et de l’ordre naturel. Démocratie, le dieu qui a échoué intéressera les érudits et les étudiants en histoire, en économie politique et en philosophie politique.

AdamVillon00
Démocratie, le dieu qui a échoué

Democracy: The God That Failed

2001 • livre de Hans-Hermann Hoppe

Résumé : Le cœur de ce livre est un traitement systématique de la transformation historique de l’Occident de la monarchie à la démocratie. De nature révisionniste, il parvient à la conclusion que la monarchie est un mal moindre que la démocratie, tout en soulignant les défaillances de chacune. Sa méthodologie est axiomatique-déductive, permettant à l’auteur de déduire des théorèmes économiques et sociologiques, puis de les appliquer pour interpréter les événements historiques. Un chapitre captivant sur la préférence temporelle décrit les progrès de la civilisation comme la baisse des préférences temporelles accompagnant la construction de la structure du capital, et explique comment l’interaction des gens peut réduire les préférences temporelles de tous, avec des parallèles d’intérêt avec la loi ricardienne d’association. Se concentrant sur cette transformation, l’auteur arrive à interpréter de nombreux phénomènes historiques, telles la hausse des niveaux de crime, la dégénérescence des normes de conduite et de moralité, et la croissance du super-État. Soulignant les déficiences de la monarchie et de la démocratie, l’auteur montre comment ces systèmes sont tous deux inférieurs à un ordre naturel basé sur la propriété privée. Hoppe déconstruit la croyance libérale classique de la possibilité d’un État limité et appelle à une convergence du conservatisme et du libertarianisme comme alliés naturels aux objectifs communs. Il défend la pertinence du rôle de la production de la sécurité apportée par l’entreprise de compagnies d’assurance sur un marché libre, et décrit l’émergence du droit privé entre assureurs concurrents. Ayant établi un ordre naturel comme supérieur aux bases utilitaristes, l’auteur poursuit en évaluant les perspectives de réaliser un ordre naturel. Éclairé par son analyse des déficiences de la social-démocratie, et armé de la théorie sociale de la légitimation, il entrevoit la sécession comme avenir probable des États-Unis et de l’Europe, aboutissant à une multitude de régions et de villes-États. Ce livre complète les travaux précédents de l’auteur défendant l’éthique de la propriété privée et de l’ordre naturel. Démocratie, le dieu qui a échoué intéressera les érudits et les étudiants en histoire, en économie politique et en philosophie politique.

verbomanie

a recommandé le livre

et lui a attribué 10/10

Démocratie, le dieu qui a échoué

Democracy: The God That Failed

2001 • livre de Hans-Hermann Hoppe

Résumé : Le cœur de ce livre est un traitement systématique de la transformation historique de l’Occident de la monarchie à la démocratie. De nature révisionniste, il parvient à la conclusion que la monarchie est un mal moindre que la démocratie, tout en soulignant les défaillances de chacune. Sa méthodologie est axiomatique-déductive, permettant à l’auteur de déduire des théorèmes économiques et sociologiques, puis de les appliquer pour interpréter les événements historiques. Un chapitre captivant sur la préférence temporelle décrit les progrès de la civilisation comme la baisse des préférences temporelles accompagnant la construction de la structure du capital, et explique comment l’interaction des gens peut réduire les préférences temporelles de tous, avec des parallèles d’intérêt avec la loi ricardienne d’association. Se concentrant sur cette transformation, l’auteur arrive à interpréter de nombreux phénomènes historiques, telles la hausse des niveaux de crime, la dégénérescence des normes de conduite et de moralité, et la croissance du super-État. Soulignant les déficiences de la monarchie et de la démocratie, l’auteur montre comment ces systèmes sont tous deux inférieurs à un ordre naturel basé sur la propriété privée. Hoppe déconstruit la croyance libérale classique de la possibilité d’un État limité et appelle à une convergence du conservatisme et du libertarianisme comme alliés naturels aux objectifs communs. Il défend la pertinence du rôle de la production de la sécurité apportée par l’entreprise de compagnies d’assurance sur un marché libre, et décrit l’émergence du droit privé entre assureurs concurrents. Ayant établi un ordre naturel comme supérieur aux bases utilitaristes, l’auteur poursuit en évaluant les perspectives de réaliser un ordre naturel. Éclairé par son analyse des déficiences de la social-démocratie, et armé de la théorie sociale de la légitimation, il entrevoit la sécession comme avenir probable des États-Unis et de l’Europe, aboutissant à une multitude de régions et de villes-États. Ce livre complète les travaux précédents de l’auteur défendant l’éthique de la propriété privée et de l’ordre naturel. Démocratie, le dieu qui a échoué intéressera les érudits et les étudiants en histoire, en économie politique et en philosophie politique.