Fiche technique

Titre original : The Blade Itself

Auteur :

Marcus Sakey
Genre : RomanDate de publication (pays d'origine) : Langue d'origine : Anglais

Traducteur :

Fabrice Pointeau
Parution France : 2006

Éditeurs :

Le Cherche-Midi, Seuil
ISBN : 9782749108919, 9782757802809, 9782749108919

Résumé : L'un des premiers romans les plus impressionnants que l'on ait lus depuis ceux de Douglas Kennedy ou de Dennis Lehane.Femme, enfant, maison, travail plus vous avez, plus vous avez à perdre.Danny Carter est un homme comme les autres. Après une jeunesse délinquante dans le quartier pauvre de Chicago où il a grandi, il mène aujourd'hui une vie sans histoire avec la femme qu'il aime.Il pense avoir définitivement tiré un trait sur son passé, jusqu'au jour où Evan, son ami d'enfance, sort de prison avec un plan bien précis en tête, un plan qui concerne Danny et qui risque de faire voler en éclats son existence bien tranquille.La dernière fois qu'ils se sont vus, sept ans plus tôt, Evan a sauvé la vie de Danny en abattant un homme au beau milieu d'un casse, avant de se faire arrêter. Danny a redouté pendant de longs mois le jour où la police viendrait frapper à sa porte, mais Evan n'a jamais dénoncé son complice, son ami.Danny doit maintenant prendre une décision : être fidèle à son ami d'enfance, payer sa dette, quitte à sacrifier tout ce qu'il a construit, ou bien en finir avec son passé et affronter Evan. Les événements se précipitant à un rythme diabolique, il devra faire le bon choix : de celui-ci dépendent sa vie et celle de ceux qu'il aime.Avec ce premier roman au suspense magistral, Marcus Sakey s'impose d'emblée comme l'un des nouveaux maîtres du genre.Extrait du livre :Jeunes lions ÿa commençait de différentes manières, mais finissait toujours de la même.Cette fois-ci, il était dans une église. Ce n'était pas celle de la Nativité, mais il savait qu'il était dans son ancien quartier. Une voix profonde psalmodiait des mots étranges. Les vitraux répandaient une lumière sanglante sur les bancs lustrés. Il avait essayé de lire le livre de cantiques, conscient que la clef de la peur de Karen se trouvait sur la page, mais