Fiche technique

Auteur :

Claude Chevally
Genre : BiographieDate de publication (pays d'origine) : Parution France : juin 2008

Éditeur :

Traboules Eds Des
ISBN : 9782915681710, 9782915681833, 9782359160154

Résumé : Avec plus de 2000 ans d'existence et en vertu d'une situation géographique avantageuse ayant notamment servi son économie à travers les siècles, LYON a une longue et riche Histoire.Nourrie par de grands personnages, quantité d'événements, des faits et des méfaits, des grandes heures, d'autres moins glorieuses, qui alimentent une chronique déjà deux fois millénaire. Dans toutes les disciplines de la politique ou le sport, en passant par les arts, les sciences, la littérature, la musique et même les faits divers, des centaines de «Grands Lyonnais» sont ainsi sortis du rang depuis que Lucius Munatius Plancus a fondé Lugdunum en 43 avant J.C. Il était temps de les répertorier pour démontrer que le Grand Lyon est formidable terreau de richesses parfois insoupçonnées.CLAUDE CHEVALLY, est lyonnais, diplômé du CFJ, collaborateur du journal «L'ÉQUIPE» depuis 1971. Claude Chevally est aussi un passionné d'Histoire. Celle de sa ville retient plus particulièrement soi attention. Depuis une dizaine d'années, il s'est lancé dans la rédaction de ce «Dictionnaire des Grands Lyonnais». Il a ainsi «revisité» la vie de près de 4000 personnages, dont il a choisi de livrer l'essentiel.Extrait du livre :HISTOIRE ET POLITIQUEFigurant parmi les quarante grandes villes européenne du XXIe siècle, Lyon se distingue à plusieurs titres. Inscrite en 1998 au Patrimoine Mondial de l'Humanité pour avoir su conserver sur 500 hectares ses élégances de la Renaissance, les charmes de ses Pentes, et le souvenir des canuts, c'est d'abord l'une des cités doyennes du Vieux Continent. Devenue capitale des Gaules sur décision d'Auguste après que Lucius Munatius Plancus eut fondé Lugdunum en 43 avant J.-C., elle n'a certes plus jamais été capitale politique depuis le milieu du IIe siècle, la victoire de Septime Sévère sur Albin en 197 ayant parachevé sa disgrâce, avant que, méfiant, Louis XI ne soit, treize siècles plus tard, le premier - mais pas le dernier - roi à refuser l'installation d'un Parlement à Lyo