L'actualité sur Don Juan

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Ana18

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Don Juan

1824 • livre de Lord Byron

Résumé : C'est dans son « Don Juan » (1819-1824), que Byron a mis le meilleur de lui-même. Le public français, pourtant, ne l'a pas toujours entendu de cette oreille: de ce côté-ci de la Manche, la réputation de Byron, inséparable de sa vie au parfum de scandale, a longtemps reposé sur son « Childe Harold », qui fit tant pour asseoir sa notoriété dans l'Europe entière, sur ses drames sombres (« Manfred », « Cain »), ou bien encore sur ses poèmes d'inspiration orientaliste (« Le Giaour, » « Le Corsaire », « Lara », « La Fiancée d'Abydos »). Sarcastique et licencieux en diable, « Don Juan » taille joyeusement en pièces fausses réputations et vraies impostures, fait du combat contre l'hypocrisie son cheval de bataille, avant de livrer au bûcher les vanités de son temps, qui sont aussi les nôtres ! Et si les doutes, l'insatisfaction, l'angoisse, continuent de s'y faire entendre, c'est en sourdine, et avec des accents étonnamment modernes. Tout le génie byronien tient dans ce poème « enfin humain » (« plutôt que divin », ainsi qu'il l'écrivait à son éditeur), écrit à l'attention d'un lecteur de type « nouveau ». Byron, du reste, fut le premier à le reconnaître: après avoir beaucoup galvaudé son talent, et beaucoup caressé, aussi, son public dans le sens du poil, il venait de trouver sa veine (retrouver serait plus exact, en songeant à ses premières charges poétiques), et n'en démordrait plus: hors de la satire, point de salut. La poésie, pour cet aristocrate libertin et libertaire, ce sera désormais la guerre continuée par d'autres moyens, et d'ailleurs l'un des morceaux de bravoure du « Don Juan &#1

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Don Juan

1824 • livre de Lord Byron

Résumé : C'est dans son « Don Juan » (1819-1824), que Byron a mis le meilleur de lui-même. Le public français, pourtant, ne l'a pas toujours entendu de cette oreille: de ce côté-ci de la Manche, la réputation de Byron, inséparable de sa vie au parfum de scandale, a longtemps reposé sur son « Childe Harold », qui fit tant pour asseoir sa notoriété dans l'Europe entière, sur ses drames sombres (« Manfred », « Cain »), ou bien encore sur ses poèmes d'inspiration orientaliste (« Le Giaour, » « Le Corsaire », « Lara », « La Fiancée d'Abydos »). Sarcastique et licencieux en diable, « Don Juan » taille joyeusement en pièces fausses réputations et vraies impostures, fait du combat contre l'hypocrisie son cheval de bataille, avant de livrer au bûcher les vanités de son temps, qui sont aussi les nôtres ! Et si les doutes, l'insatisfaction, l'angoisse, continuent de s'y faire entendre, c'est en sourdine, et avec des accents étonnamment modernes. Tout le génie byronien tient dans ce poème « enfin humain » (« plutôt que divin », ainsi qu'il l'écrivait à son éditeur), écrit à l'attention d'un lecteur de type « nouveau ». Byron, du reste, fut le premier à le reconnaître: après avoir beaucoup galvaudé son talent, et beaucoup caressé, aussi, son public dans le sens du poil, il venait de trouver sa veine (retrouver serait plus exact, en songeant à ses premières charges poétiques), et n'en démordrait plus: hors de la satire, point de salut. La poésie, pour cet aristocrate libertin et libertaire, ce sera désormais la guerre continuée par d'autres moyens, et d'ailleurs l'un des morceaux de bravoure du « Don Juan &#1

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Don Juan

1824 • livre de Lord Byron

Résumé : C'est dans son « Don Juan » (1819-1824), que Byron a mis le meilleur de lui-même. Le public français, pourtant, ne l'a pas toujours entendu de cette oreille: de ce côté-ci de la Manche, la réputation de Byron, inséparable de sa vie au parfum de scandale, a longtemps reposé sur son « Childe Harold », qui fit tant pour asseoir sa notoriété dans l'Europe entière, sur ses drames sombres (« Manfred », « Cain »), ou bien encore sur ses poèmes d'inspiration orientaliste (« Le Giaour, » « Le Corsaire », « Lara », « La Fiancée d'Abydos »). Sarcastique et licencieux en diable, « Don Juan » taille joyeusement en pièces fausses réputations et vraies impostures, fait du combat contre l'hypocrisie son cheval de bataille, avant de livrer au bûcher les vanités de son temps, qui sont aussi les nôtres ! Et si les doutes, l'insatisfaction, l'angoisse, continuent de s'y faire entendre, c'est en sourdine, et avec des accents étonnamment modernes. Tout le génie byronien tient dans ce poème « enfin humain » (« plutôt que divin », ainsi qu'il l'écrivait à son éditeur), écrit à l'attention d'un lecteur de type « nouveau ». Byron, du reste, fut le premier à le reconnaître: après avoir beaucoup galvaudé son talent, et beaucoup caressé, aussi, son public dans le sens du poil, il venait de trouver sa veine (retrouver serait plus exact, en songeant à ses premières charges poétiques), et n'en démordrait plus: hors de la satire, point de salut. La poésie, pour cet aristocrate libertin et libertaire, ce sera désormais la guerre continuée par d'autres moyens, et d'ailleurs l'un des morceaux de bravoure du « Don Juan &#1

Zbun

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Juleskyt

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Don Juan

1824 • livre de Lord Byron

Résumé : C'est dans son « Don Juan » (1819-1824), que Byron a mis le meilleur de lui-même. Le public français, pourtant, ne l'a pas toujours entendu de cette oreille: de ce côté-ci de la Manche, la réputation de Byron, inséparable de sa vie au parfum de scandale, a longtemps reposé sur son « Childe Harold », qui fit tant pour asseoir sa notoriété dans l'Europe entière, sur ses drames sombres (« Manfred », « Cain »), ou bien encore sur ses poèmes d'inspiration orientaliste (« Le Giaour, » « Le Corsaire », « Lara », « La Fiancée d'Abydos »). Sarcastique et licencieux en diable, « Don Juan » taille joyeusement en pièces fausses réputations et vraies impostures, fait du combat contre l'hypocrisie son cheval de bataille, avant de livrer au bûcher les vanités de son temps, qui sont aussi les nôtres ! Et si les doutes, l'insatisfaction, l'angoisse, continuent de s'y faire entendre, c'est en sourdine, et avec des accents étonnamment modernes. Tout le génie byronien tient dans ce poème « enfin humain » (« plutôt que divin », ainsi qu'il l'écrivait à son éditeur), écrit à l'attention d'un lecteur de type « nouveau ». Byron, du reste, fut le premier à le reconnaître: après avoir beaucoup galvaudé son talent, et beaucoup caressé, aussi, son public dans le sens du poil, il venait de trouver sa veine (retrouver serait plus exact, en songeant à ses premières charges poétiques), et n'en démordrait plus: hors de la satire, point de salut. La poésie, pour cet aristocrate libertin et libertaire, ce sera désormais la guerre continuée par d'autres moyens, et d'ailleurs l'un des morceaux de bravoure du « Don Juan &#1

PicArthurr

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Don Juan

1824 • livre de Lord Byron

Résumé : C'est dans son « Don Juan » (1819-1824), que Byron a mis le meilleur de lui-même. Le public français, pourtant, ne l'a pas toujours entendu de cette oreille: de ce côté-ci de la Manche, la réputation de Byron, inséparable de sa vie au parfum de scandale, a longtemps reposé sur son « Childe Harold », qui fit tant pour asseoir sa notoriété dans l'Europe entière, sur ses drames sombres (« Manfred », « Cain »), ou bien encore sur ses poèmes d'inspiration orientaliste (« Le Giaour, » « Le Corsaire », « Lara », « La Fiancée d'Abydos »). Sarcastique et licencieux en diable, « Don Juan » taille joyeusement en pièces fausses réputations et vraies impostures, fait du combat contre l'hypocrisie son cheval de bataille, avant de livrer au bûcher les vanités de son temps, qui sont aussi les nôtres ! Et si les doutes, l'insatisfaction, l'angoisse, continuent de s'y faire entendre, c'est en sourdine, et avec des accents étonnamment modernes. Tout le génie byronien tient dans ce poème « enfin humain » (« plutôt que divin », ainsi qu'il l'écrivait à son éditeur), écrit à l'attention d'un lecteur de type « nouveau ». Byron, du reste, fut le premier à le reconnaître: après avoir beaucoup galvaudé son talent, et beaucoup caressé, aussi, son public dans le sens du poil, il venait de trouver sa veine (retrouver serait plus exact, en songeant à ses premières charges poétiques), et n'en démordrait plus: hors de la satire, point de salut. La poésie, pour cet aristocrate libertin et libertaire, ce sera désormais la guerre continuée par d'autres moyens, et d'ailleurs l'un des morceaux de bravoure du « Don Juan &#1

Haaomas

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1824 • livre de Lord Byron

Résumé : C'est dans son « Don Juan » (1819-1824), que Byron a mis le meilleur de lui-même. Le public français, pourtant, ne l'a pas toujours entendu de cette oreille: de ce côté-ci de la Manche, la réputation de Byron, inséparable de sa vie au parfum de scandale, a longtemps reposé sur son « Childe Harold », qui fit tant pour asseoir sa notoriété dans l'Europe entière, sur ses drames sombres (« Manfred », « Cain »), ou bien encore sur ses poèmes d'inspiration orientaliste (« Le Giaour, » « Le Corsaire », « Lara », « La Fiancée d'Abydos »). Sarcastique et licencieux en diable, « Don Juan » taille joyeusement en pièces fausses réputations et vraies impostures, fait du combat contre l'hypocrisie son cheval de bataille, avant de livrer au bûcher les vanités de son temps, qui sont aussi les nôtres ! Et si les doutes, l'insatisfaction, l'angoisse, continuent de s'y faire entendre, c'est en sourdine, et avec des accents étonnamment modernes. Tout le génie byronien tient dans ce poème « enfin humain » (« plutôt que divin », ainsi qu'il l'écrivait à son éditeur), écrit à l'attention d'un lecteur de type « nouveau ». Byron, du reste, fut le premier à le reconnaître: après avoir beaucoup galvaudé son talent, et beaucoup caressé, aussi, son public dans le sens du poil, il venait de trouver sa veine (retrouver serait plus exact, en songeant à ses premières charges poétiques), et n'en démordrait plus: hors de la satire, point de salut. La poésie, pour cet aristocrate libertin et libertaire, ce sera désormais la guerre continuée par d'autres moyens, et d'ailleurs l'un des morceaux de bravoure du « Don Juan &#1

franime

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Don Juan

1824 • livre de Lord Byron

Résumé : C'est dans son « Don Juan » (1819-1824), que Byron a mis le meilleur de lui-même. Le public français, pourtant, ne l'a pas toujours entendu de cette oreille: de ce côté-ci de la Manche, la réputation de Byron, inséparable de sa vie au parfum de scandale, a longtemps reposé sur son « Childe Harold », qui fit tant pour asseoir sa notoriété dans l'Europe entière, sur ses drames sombres (« Manfred », « Cain »), ou bien encore sur ses poèmes d'inspiration orientaliste (« Le Giaour, » « Le Corsaire », « Lara », « La Fiancée d'Abydos »). Sarcastique et licencieux en diable, « Don Juan » taille joyeusement en pièces fausses réputations et vraies impostures, fait du combat contre l'hypocrisie son cheval de bataille, avant de livrer au bûcher les vanités de son temps, qui sont aussi les nôtres ! Et si les doutes, l'insatisfaction, l'angoisse, continuent de s'y faire entendre, c'est en sourdine, et avec des accents étonnamment modernes. Tout le génie byronien tient dans ce poème « enfin humain » (« plutôt que divin », ainsi qu'il l'écrivait à son éditeur), écrit à l'attention d'un lecteur de type « nouveau ». Byron, du reste, fut le premier à le reconnaître: après avoir beaucoup galvaudé son talent, et beaucoup caressé, aussi, son public dans le sens du poil, il venait de trouver sa veine (retrouver serait plus exact, en songeant à ses premières charges poétiques), et n'en démordrait plus: hors de la satire, point de salut. La poésie, pour cet aristocrate libertin et libertaire, ce sera désormais la guerre continuée par d'autres moyens, et d'ailleurs l'un des morceaux de bravoure du « Don Juan &#1

DYNASTIA

a attribué 9/10 au livre

Don Juan

1824 • livre de Lord Byron

Résumé : C'est dans son « Don Juan » (1819-1824), que Byron a mis le meilleur de lui-même. Le public français, pourtant, ne l'a pas toujours entendu de cette oreille: de ce côté-ci de la Manche, la réputation de Byron, inséparable de sa vie au parfum de scandale, a longtemps reposé sur son « Childe Harold », qui fit tant pour asseoir sa notoriété dans l'Europe entière, sur ses drames sombres (« Manfred », « Cain »), ou bien encore sur ses poèmes d'inspiration orientaliste (« Le Giaour, » « Le Corsaire », « Lara », « La Fiancée d'Abydos »). Sarcastique et licencieux en diable, « Don Juan » taille joyeusement en pièces fausses réputations et vraies impostures, fait du combat contre l'hypocrisie son cheval de bataille, avant de livrer au bûcher les vanités de son temps, qui sont aussi les nôtres ! Et si les doutes, l'insatisfaction, l'angoisse, continuent de s'y faire entendre, c'est en sourdine, et avec des accents étonnamment modernes. Tout le génie byronien tient dans ce poème « enfin humain » (« plutôt que divin », ainsi qu'il l'écrivait à son éditeur), écrit à l'attention d'un lecteur de type « nouveau ». Byron, du reste, fut le premier à le reconnaître: après avoir beaucoup galvaudé son talent, et beaucoup caressé, aussi, son public dans le sens du poil, il venait de trouver sa veine (retrouver serait plus exact, en songeant à ses premières charges poétiques), et n'en démordrait plus: hors de la satire, point de salut. La poésie, pour cet aristocrate libertin et libertaire, ce sera désormais la guerre continuée par d'autres moyens, et d'ailleurs l'un des morceaux de bravoure du « Don Juan &#1

AdrienDouay

a attribué 8/10 au livre

Don Juan

1824 • livre de Lord Byron

Résumé : C'est dans son « Don Juan » (1819-1824), que Byron a mis le meilleur de lui-même. Le public français, pourtant, ne l'a pas toujours entendu de cette oreille: de ce côté-ci de la Manche, la réputation de Byron, inséparable de sa vie au parfum de scandale, a longtemps reposé sur son « Childe Harold », qui fit tant pour asseoir sa notoriété dans l'Europe entière, sur ses drames sombres (« Manfred », « Cain »), ou bien encore sur ses poèmes d'inspiration orientaliste (« Le Giaour, » « Le Corsaire », « Lara », « La Fiancée d'Abydos »). Sarcastique et licencieux en diable, « Don Juan » taille joyeusement en pièces fausses réputations et vraies impostures, fait du combat contre l'hypocrisie son cheval de bataille, avant de livrer au bûcher les vanités de son temps, qui sont aussi les nôtres ! Et si les doutes, l'insatisfaction, l'angoisse, continuent de s'y faire entendre, c'est en sourdine, et avec des accents étonnamment modernes. Tout le génie byronien tient dans ce poème « enfin humain » (« plutôt que divin », ainsi qu'il l'écrivait à son éditeur), écrit à l'attention d'un lecteur de type « nouveau ». Byron, du reste, fut le premier à le reconnaître: après avoir beaucoup galvaudé son talent, et beaucoup caressé, aussi, son public dans le sens du poil, il venait de trouver sa veine (retrouver serait plus exact, en songeant à ses premières charges poétiques), et n'en démordrait plus: hors de la satire, point de salut. La poésie, pour cet aristocrate libertin et libertaire, ce sera désormais la guerre continuée par d'autres moyens, et d'ailleurs l'un des morceaux de bravoure du « Don Juan &#1

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Tom Comminicae

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Valgard

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Don Juan

1824 • livre de Lord Byron

Résumé : C'est dans son « Don Juan » (1819-1824), que Byron a mis le meilleur de lui-même. Le public français, pourtant, ne l'a pas toujours entendu de cette oreille: de ce côté-ci de la Manche, la réputation de Byron, inséparable de sa vie au parfum de scandale, a longtemps reposé sur son « Childe Harold », qui fit tant pour asseoir sa notoriété dans l'Europe entière, sur ses drames sombres (« Manfred », « Cain »), ou bien encore sur ses poèmes d'inspiration orientaliste (« Le Giaour, » « Le Corsaire », « Lara », « La Fiancée d'Abydos »). Sarcastique et licencieux en diable, « Don Juan » taille joyeusement en pièces fausses réputations et vraies impostures, fait du combat contre l'hypocrisie son cheval de bataille, avant de livrer au bûcher les vanités de son temps, qui sont aussi les nôtres ! Et si les doutes, l'insatisfaction, l'angoisse, continuent de s'y faire entendre, c'est en sourdine, et avec des accents étonnamment modernes. Tout le génie byronien tient dans ce poème « enfin humain » (« plutôt que divin », ainsi qu'il l'écrivait à son éditeur), écrit à l'attention d'un lecteur de type « nouveau ». Byron, du reste, fut le premier à le reconnaître: après avoir beaucoup galvaudé son talent, et beaucoup caressé, aussi, son public dans le sens du poil, il venait de trouver sa veine (retrouver serait plus exact, en songeant à ses premières charges poétiques), et n'en démordrait plus: hors de la satire, point de salut. La poésie, pour cet aristocrate libertin et libertaire, ce sera désormais la guerre continuée par d'autres moyens, et d'ailleurs l'un des morceaux de bravoure du « Don Juan &#1

Septimius

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