Koji Suzuki pousse à fond, dans ce deuxième tome, la métaphore du virus qui apparaissait à la fin de l’épisode précédent. Malheureusement, en donnant beaucoup d’explications scientifiques à la malédiction de Sadako, il en perd un peu la portée horrifique comme s’il n’assumait pas pleinement l’aspect fantastique de son récit et voulait lui donner plus de réalisme grâce à un langage assez jargonneux. Cependant, la traduction, ne faisant cette fois-ci pas le choix de la narration au présent, est plus agréable à lire que celle de Ring.