« Premier bouquin français consacré au cinéma d'exploitation US (…) Les 30 dernières pages sont une surprise ! On y trouve de passionnants entretiens que l'auteur a passé avec certains artisans du genre : Ted V. Mikels, Herschell G. Lewis, Joe Dante. Une bonne introduction à cet univers » (Guillaume Richard, Trash Times n°18).
« Si Régis Dubois ne vise pas l'exhaustivité, son ouvrage prend néanmoins la forme d'une véritable encyclopédie (…) cet ouvrage apparaît aujourd'hui comme l'une des références françaises en matière de cinéma d'exploitation. La réussite de l'étude tient autant à l'écriture experte de l'auteur, qui oscille avec lucidité entre subjectivité cinéphile et objectivité critique, qu'à la très belle mise en page des éditions Imho » (Jacques Demange, cinechronicle.com).
« Une vraie mine d'or sur un pan méconnu du cinéma américain » (Culture Prohibée, Radio Panik).
« le jet de Régis Dubois se parcourt au choix d'un trait ou à la manière d'un guide sur lequel on peut revenir avec gourmandise, les soirs de disettes télévisuelles, comme un dictionnaire du possible en quelque sorte. Drive-in & grindhouse cinema 1950's-1960's apparaît donc comme un ouvrage de vulgarisation de référence d'autant plus que le style de l'auteur ne souffre d'aucune lourdeur (…) Chacun y trouvera par conséquent de quoi nourrir la plante carnivore qu'est la cinéphilie. Notons au passage que ce petit pavé est proposé au prix accessible de 18€. Recommandable ! » (ecranbis.com)
« Brillant oui, car c'est peut-être bien la première fois que je lis une définition nette de ce que recouvrent les appellations « cinéma d'exploitation », « série B » ou « cinéma bis ». Non que l'auteur se perde dans les vaines catégorisations d'un structuralisme chiant et dans les explications pénibles d'une typologie des « genres », mais sa plume est d'une exemplaire limpidité, circonscrivant avec bonheur ce qu'on entend par « US exploitation films » : et Dieu sait que le rayon est mouvant, fuyant, compliqué à embrasser sérieusement dans son entièreté… Il faut donc lire le long texte introductif du bouquin, une quinzaine de pages au cours desquelles l'auteur se livre à un sacré bel exercice pédagogique, multipliant les approches et les angles pour délimiter précisément cet immense espace (…) Et puis après cela, le plat de résistance : 101 films passés au tamis de la chronique – ni trop longue ni trop courte – et classés chronologiquement – de 1950 à 1969 -, exemplaires du « dark side of the movies » pendant ces deux folles décennies (…) la bienveillance et l'affection sous-tendent les textes de Régis Dubois, sans cette espèce de cynisme à deux balles et sans ce rictus infernal de la dérision accroché au stylo… Que ça fait du bien, et que ça rassure (…) un livre en tout point passionnant, parfaite lecture estivale pour ceux qui aiment encore l'impertinence et la liberté sur écran » (David Didelot, co-fondateur du fanzine Vidéotopsie).
« Je suis extrêmement lent à lire les bouquins mais celui-là je l'ai dévoré (…) Je vous parle avec beaucoup d'amour de ce bouquin parce que Régis Dubois parle avec beaucoup d'amour de ce cinéma-là. C'est une super belle édition, cela ne coûte que 18 euros, achetez-le, croyez moi, c'est une merveille absolue ! » (Geoffrey, Cheap Thrills, épisode 3)
« Drive-in & grindhouse cinema est la Bible qu'il vous faudra si vous voulez saisir le concept de cette époque » (Mr Méchant, slashershouse.com).