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2003 • livre de Jacques Chauviré
Résumé : Dans ces belles pages, auréolées de mélancolie et au dénouement surprenant, l'histoire du premier amour d'un garçon est racontée avec une intensité singulière sur le fond gris de la Première Guerre mondiale. Un père mort au front, une mère traumatisée par cette absence et une grand-mère sévère composent la famille de Jacques Ivan, Vanvan, chez qui arrive Élisa, la douce servante adolescente. Elle est le meilleur antidote, le seul possible, contre la tristesse. « Le vert paradis des amours enfantines », écrivait Baudelaire. Une innocence claire et profonde a inspiré ce texte unique et lumineux, dans le vif-argent duquel se rencontrent l'enfance et la vieillesse, le temps de l'initiation et celui des adieux.
2003 • livre de Jacques Chauviré
Résumé : Dans ces belles pages, auréolées de mélancolie et au dénouement surprenant, l'histoire du premier amour d'un garçon est racontée avec une intensité singulière sur le fond gris de la Première Guerre mondiale. Un père mort au front, une mère traumatisée par cette absence et une grand-mère sévère composent la famille de Jacques Ivan, Vanvan, chez qui arrive Élisa, la douce servante adolescente. Elle est le meilleur antidote, le seul possible, contre la tristesse. « Le vert paradis des amours enfantines », écrivait Baudelaire. Une innocence claire et profonde a inspiré ce texte unique et lumineux, dans le vif-argent duquel se rencontrent l'enfance et la vieillesse, le temps de l'initiation et celui des adieux.
2003 • livre de Jacques Chauviré
Résumé : Dans ces belles pages, auréolées de mélancolie et au dénouement surprenant, l'histoire du premier amour d'un garçon est racontée avec une intensité singulière sur le fond gris de la Première Guerre mondiale. Un père mort au front, une mère traumatisée par cette absence et une grand-mère sévère composent la famille de Jacques Ivan, Vanvan, chez qui arrive Élisa, la douce servante adolescente. Elle est le meilleur antidote, le seul possible, contre la tristesse. « Le vert paradis des amours enfantines », écrivait Baudelaire. Une innocence claire et profonde a inspiré ce texte unique et lumineux, dans le vif-argent duquel se rencontrent l'enfance et la vieillesse, le temps de l'initiation et celui des adieux.
