L'actualité sur Emily L.

Les dernières actions

almagoa

a envie de lire le livre

bluee

a recommandé le livre

et lui a attribué 7/10

Emily L.

1987 • livre de Marguerite Duras

Résumé : Un jour d'été, bar de la Marine, à Quillebeuf. Au large, l'estuaire de la Seine. C'est, à nouveau, Duras. A nouveau ce désœuvrement maritime, blanc et bleu, des plages tout juste passées de mode, avec un rien de luxe, des clients perdus et des voix qui renouent d'impossibles ruptures. «Je ne peux pas m'arrêter d'écrire, dit la narratrice à l'homme qui l'accompagne, je ne peux pas. Et cette histoire, quand je l'écris, c'est comme si je vous retrouvais que je retrouvais les moments où je ne sais pas encore ni ce qui arrive, ni ce qui va arriver ni qui vous êtes, ni ce que nous allons devenir.» La narratrice et l'homme qu'elle n'aime plus - ou qu'elle aime - observent deux autres solitaires du bar de la Marine, deux Anglais de l'île de Wight, venus de leur yacht : le «captain» et une femme détruite par l'alcool, jadis peut-être belle. Les deux voix françaises se mêlent aux deux voix anglaises, auxquelles il faudrait ajouter par instants la voix de la douce tenancière des lieux -elle aussi sur le départ. On apprendra le drame du couple anglais et, par échos, celui du couple français. Et l'on rêve de celle qui fut surnommée Emily L., la femme de l'amour fou, la lady des poèmes et des yachts, voguant parmi les îles de la Sonde. Mais la belle journée passe, des pétroliers - hauts immeubles de l'impeccable blanc - montent sur le bleu et le noir. Un bac rouge, fragile, jette sa tache vive. L'immensité entre doucement dans la nuit. Il reste une certaine tranquillité, parcourue d'angoisses : celle du corps qui lit en soi le passage sans remède de toutes choses, «le corps qui lit et qui veut connaître l'histoire depuis les origines, et à chaque lecture ignorer toujours plus avant que ce qu'il ignore déjà». Jean-Maurice de Montremy

Maxime Graff

a attribué 9/10 au livre

Emily L.

1987 • livre de Marguerite Duras

Résumé : Un jour d'été, bar de la Marine, à Quillebeuf. Au large, l'estuaire de la Seine. C'est, à nouveau, Duras. A nouveau ce désœuvrement maritime, blanc et bleu, des plages tout juste passées de mode, avec un rien de luxe, des clients perdus et des voix qui renouent d'impossibles ruptures. «Je ne peux pas m'arrêter d'écrire, dit la narratrice à l'homme qui l'accompagne, je ne peux pas. Et cette histoire, quand je l'écris, c'est comme si je vous retrouvais que je retrouvais les moments où je ne sais pas encore ni ce qui arrive, ni ce qui va arriver ni qui vous êtes, ni ce que nous allons devenir.» La narratrice et l'homme qu'elle n'aime plus - ou qu'elle aime - observent deux autres solitaires du bar de la Marine, deux Anglais de l'île de Wight, venus de leur yacht : le «captain» et une femme détruite par l'alcool, jadis peut-être belle. Les deux voix françaises se mêlent aux deux voix anglaises, auxquelles il faudrait ajouter par instants la voix de la douce tenancière des lieux -elle aussi sur le départ. On apprendra le drame du couple anglais et, par échos, celui du couple français. Et l'on rêve de celle qui fut surnommée Emily L., la femme de l'amour fou, la lady des poèmes et des yachts, voguant parmi les îles de la Sonde. Mais la belle journée passe, des pétroliers - hauts immeubles de l'impeccable blanc - montent sur le bleu et le noir. Un bac rouge, fragile, jette sa tache vive. L'immensité entre doucement dans la nuit. Il reste une certaine tranquillité, parcourue d'angoisses : celle du corps qui lit en soi le passage sans remède de toutes choses, «le corps qui lit et qui veut connaître l'histoire depuis les origines, et à chaque lecture ignorer toujours plus avant que ce qu'il ignore déjà». Jean-Maurice de Montremy

Porky-Script

a attribué 7/10 au livre

et l'a ajouté à sa liste

Top 10 Livres

Emily L.

1987 • livre de Marguerite Duras

Résumé : Un jour d'été, bar de la Marine, à Quillebeuf. Au large, l'estuaire de la Seine. C'est, à nouveau, Duras. A nouveau ce désœuvrement maritime, blanc et bleu, des plages tout juste passées de mode, avec un rien de luxe, des clients perdus et des voix qui renouent d'impossibles ruptures. «Je ne peux pas m'arrêter d'écrire, dit la narratrice à l'homme qui l'accompagne, je ne peux pas. Et cette histoire, quand je l'écris, c'est comme si je vous retrouvais que je retrouvais les moments où je ne sais pas encore ni ce qui arrive, ni ce qui va arriver ni qui vous êtes, ni ce que nous allons devenir.» La narratrice et l'homme qu'elle n'aime plus - ou qu'elle aime - observent deux autres solitaires du bar de la Marine, deux Anglais de l'île de Wight, venus de leur yacht : le «captain» et une femme détruite par l'alcool, jadis peut-être belle. Les deux voix françaises se mêlent aux deux voix anglaises, auxquelles il faudrait ajouter par instants la voix de la douce tenancière des lieux -elle aussi sur le départ. On apprendra le drame du couple anglais et, par échos, celui du couple français. Et l'on rêve de celle qui fut surnommée Emily L., la femme de l'amour fou, la lady des poèmes et des yachts, voguant parmi les îles de la Sonde. Mais la belle journée passe, des pétroliers - hauts immeubles de l'impeccable blanc - montent sur le bleu et le noir. Un bac rouge, fragile, jette sa tache vive. L'immensité entre doucement dans la nuit. Il reste une certaine tranquillité, parcourue d'angoisses : celle du corps qui lit en soi le passage sans remède de toutes choses, «le corps qui lit et qui veut connaître l'histoire depuis les origines, et à chaque lecture ignorer toujours plus avant que ce qu'il ignore déjà». Jean-Maurice de Montremy

Maxime Graff

a envie de lire le livre

399Perséphone

a attribué 8/10 au livre

et l'a ajouté à sa liste

Lectures 2024

Emily L.

1987 • livre de Marguerite Duras

Résumé : Un jour d'été, bar de la Marine, à Quillebeuf. Au large, l'estuaire de la Seine. C'est, à nouveau, Duras. A nouveau ce désœuvrement maritime, blanc et bleu, des plages tout juste passées de mode, avec un rien de luxe, des clients perdus et des voix qui renouent d'impossibles ruptures. «Je ne peux pas m'arrêter d'écrire, dit la narratrice à l'homme qui l'accompagne, je ne peux pas. Et cette histoire, quand je l'écris, c'est comme si je vous retrouvais que je retrouvais les moments où je ne sais pas encore ni ce qui arrive, ni ce qui va arriver ni qui vous êtes, ni ce que nous allons devenir.» La narratrice et l'homme qu'elle n'aime plus - ou qu'elle aime - observent deux autres solitaires du bar de la Marine, deux Anglais de l'île de Wight, venus de leur yacht : le «captain» et une femme détruite par l'alcool, jadis peut-être belle. Les deux voix françaises se mêlent aux deux voix anglaises, auxquelles il faudrait ajouter par instants la voix de la douce tenancière des lieux -elle aussi sur le départ. On apprendra le drame du couple anglais et, par échos, celui du couple français. Et l'on rêve de celle qui fut surnommée Emily L., la femme de l'amour fou, la lady des poèmes et des yachts, voguant parmi les îles de la Sonde. Mais la belle journée passe, des pétroliers - hauts immeubles de l'impeccable blanc - montent sur le bleu et le noir. Un bac rouge, fragile, jette sa tache vive. L'immensité entre doucement dans la nuit. Il reste une certaine tranquillité, parcourue d'angoisses : celle du corps qui lit en soi le passage sans remède de toutes choses, «le corps qui lit et qui veut connaître l'histoire depuis les origines, et à chaque lecture ignorer toujours plus avant que ce qu'il ignore déjà». Jean-Maurice de Montremy

FlorentJean

a attribué 9/10 au livre

Emily L.

1987 • livre de Marguerite Duras

Résumé : Un jour d'été, bar de la Marine, à Quillebeuf. Au large, l'estuaire de la Seine. C'est, à nouveau, Duras. A nouveau ce désœuvrement maritime, blanc et bleu, des plages tout juste passées de mode, avec un rien de luxe, des clients perdus et des voix qui renouent d'impossibles ruptures. «Je ne peux pas m'arrêter d'écrire, dit la narratrice à l'homme qui l'accompagne, je ne peux pas. Et cette histoire, quand je l'écris, c'est comme si je vous retrouvais que je retrouvais les moments où je ne sais pas encore ni ce qui arrive, ni ce qui va arriver ni qui vous êtes, ni ce que nous allons devenir.» La narratrice et l'homme qu'elle n'aime plus - ou qu'elle aime - observent deux autres solitaires du bar de la Marine, deux Anglais de l'île de Wight, venus de leur yacht : le «captain» et une femme détruite par l'alcool, jadis peut-être belle. Les deux voix françaises se mêlent aux deux voix anglaises, auxquelles il faudrait ajouter par instants la voix de la douce tenancière des lieux -elle aussi sur le départ. On apprendra le drame du couple anglais et, par échos, celui du couple français. Et l'on rêve de celle qui fut surnommée Emily L., la femme de l'amour fou, la lady des poèmes et des yachts, voguant parmi les îles de la Sonde. Mais la belle journée passe, des pétroliers - hauts immeubles de l'impeccable blanc - montent sur le bleu et le noir. Un bac rouge, fragile, jette sa tache vive. L'immensité entre doucement dans la nuit. Il reste une certaine tranquillité, parcourue d'angoisses : celle du corps qui lit en soi le passage sans remède de toutes choses, «le corps qui lit et qui veut connaître l'histoire depuis les origines, et à chaque lecture ignorer toujours plus avant que ce qu'il ignore déjà». Jean-Maurice de Montremy

Aline BASTET

a attribué 9/10 au livre

Emily L.

1987 • livre de Marguerite Duras

Résumé : Un jour d'été, bar de la Marine, à Quillebeuf. Au large, l'estuaire de la Seine. C'est, à nouveau, Duras. A nouveau ce désœuvrement maritime, blanc et bleu, des plages tout juste passées de mode, avec un rien de luxe, des clients perdus et des voix qui renouent d'impossibles ruptures. «Je ne peux pas m'arrêter d'écrire, dit la narratrice à l'homme qui l'accompagne, je ne peux pas. Et cette histoire, quand je l'écris, c'est comme si je vous retrouvais que je retrouvais les moments où je ne sais pas encore ni ce qui arrive, ni ce qui va arriver ni qui vous êtes, ni ce que nous allons devenir.» La narratrice et l'homme qu'elle n'aime plus - ou qu'elle aime - observent deux autres solitaires du bar de la Marine, deux Anglais de l'île de Wight, venus de leur yacht : le «captain» et une femme détruite par l'alcool, jadis peut-être belle. Les deux voix françaises se mêlent aux deux voix anglaises, auxquelles il faudrait ajouter par instants la voix de la douce tenancière des lieux -elle aussi sur le départ. On apprendra le drame du couple anglais et, par échos, celui du couple français. Et l'on rêve de celle qui fut surnommée Emily L., la femme de l'amour fou, la lady des poèmes et des yachts, voguant parmi les îles de la Sonde. Mais la belle journée passe, des pétroliers - hauts immeubles de l'impeccable blanc - montent sur le bleu et le noir. Un bac rouge, fragile, jette sa tache vive. L'immensité entre doucement dans la nuit. Il reste une certaine tranquillité, parcourue d'angoisses : celle du corps qui lit en soi le passage sans remède de toutes choses, «le corps qui lit et qui veut connaître l'histoire depuis les origines, et à chaque lecture ignorer toujours plus avant que ce qu'il ignore déjà». Jean-Maurice de Montremy

Mustacchio

a envie de lire le livre

Cyrielle Blc

a envie de lire le livre

Eugggg

a envie de lire le livre

frontb173

a recommandé le livre

et lui a attribué 9/10

Emily L.

1987 • livre de Marguerite Duras

Résumé : Un jour d'été, bar de la Marine, à Quillebeuf. Au large, l'estuaire de la Seine. C'est, à nouveau, Duras. A nouveau ce désœuvrement maritime, blanc et bleu, des plages tout juste passées de mode, avec un rien de luxe, des clients perdus et des voix qui renouent d'impossibles ruptures. «Je ne peux pas m'arrêter d'écrire, dit la narratrice à l'homme qui l'accompagne, je ne peux pas. Et cette histoire, quand je l'écris, c'est comme si je vous retrouvais que je retrouvais les moments où je ne sais pas encore ni ce qui arrive, ni ce qui va arriver ni qui vous êtes, ni ce que nous allons devenir.» La narratrice et l'homme qu'elle n'aime plus - ou qu'elle aime - observent deux autres solitaires du bar de la Marine, deux Anglais de l'île de Wight, venus de leur yacht : le «captain» et une femme détruite par l'alcool, jadis peut-être belle. Les deux voix françaises se mêlent aux deux voix anglaises, auxquelles il faudrait ajouter par instants la voix de la douce tenancière des lieux -elle aussi sur le départ. On apprendra le drame du couple anglais et, par échos, celui du couple français. Et l'on rêve de celle qui fut surnommée Emily L., la femme de l'amour fou, la lady des poèmes et des yachts, voguant parmi les îles de la Sonde. Mais la belle journée passe, des pétroliers - hauts immeubles de l'impeccable blanc - montent sur le bleu et le noir. Un bac rouge, fragile, jette sa tache vive. L'immensité entre doucement dans la nuit. Il reste une certaine tranquillité, parcourue d'angoisses : celle du corps qui lit en soi le passage sans remède de toutes choses, «le corps qui lit et qui veut connaître l'histoire depuis les origines, et à chaque lecture ignorer toujours plus avant que ce qu'il ignore déjà». Jean-Maurice de Montremy

mando145

a envie de lire le livre

Debonnaire6

a attribué 7/10 au livre

Emily L.

1987 • livre de Marguerite Duras

Résumé : Un jour d'été, bar de la Marine, à Quillebeuf. Au large, l'estuaire de la Seine. C'est, à nouveau, Duras. A nouveau ce désœuvrement maritime, blanc et bleu, des plages tout juste passées de mode, avec un rien de luxe, des clients perdus et des voix qui renouent d'impossibles ruptures. «Je ne peux pas m'arrêter d'écrire, dit la narratrice à l'homme qui l'accompagne, je ne peux pas. Et cette histoire, quand je l'écris, c'est comme si je vous retrouvais que je retrouvais les moments où je ne sais pas encore ni ce qui arrive, ni ce qui va arriver ni qui vous êtes, ni ce que nous allons devenir.» La narratrice et l'homme qu'elle n'aime plus - ou qu'elle aime - observent deux autres solitaires du bar de la Marine, deux Anglais de l'île de Wight, venus de leur yacht : le «captain» et une femme détruite par l'alcool, jadis peut-être belle. Les deux voix françaises se mêlent aux deux voix anglaises, auxquelles il faudrait ajouter par instants la voix de la douce tenancière des lieux -elle aussi sur le départ. On apprendra le drame du couple anglais et, par échos, celui du couple français. Et l'on rêve de celle qui fut surnommée Emily L., la femme de l'amour fou, la lady des poèmes et des yachts, voguant parmi les îles de la Sonde. Mais la belle journée passe, des pétroliers - hauts immeubles de l'impeccable blanc - montent sur le bleu et le noir. Un bac rouge, fragile, jette sa tache vive. L'immensité entre doucement dans la nuit. Il reste une certaine tranquillité, parcourue d'angoisses : celle du corps qui lit en soi le passage sans remède de toutes choses, «le corps qui lit et qui veut connaître l'histoire depuis les origines, et à chaque lecture ignorer toujours plus avant que ce qu'il ignore déjà». Jean-Maurice de Montremy

WillieZ

a attribué 6/10 au livre

FlorentJean

a envie de lire le livre

Melaine_

a recommandé le livre

et l'a ajouté à sa liste

livres 2022

Emily L.

1987 • livre de Marguerite Duras

Résumé : Un jour d'été, bar de la Marine, à Quillebeuf. Au large, l'estuaire de la Seine. C'est, à nouveau, Duras. A nouveau ce désœuvrement maritime, blanc et bleu, des plages tout juste passées de mode, avec un rien de luxe, des clients perdus et des voix qui renouent d'impossibles ruptures. «Je ne peux pas m'arrêter d'écrire, dit la narratrice à l'homme qui l'accompagne, je ne peux pas. Et cette histoire, quand je l'écris, c'est comme si je vous retrouvais que je retrouvais les moments où je ne sais pas encore ni ce qui arrive, ni ce qui va arriver ni qui vous êtes, ni ce que nous allons devenir.» La narratrice et l'homme qu'elle n'aime plus - ou qu'elle aime - observent deux autres solitaires du bar de la Marine, deux Anglais de l'île de Wight, venus de leur yacht : le «captain» et une femme détruite par l'alcool, jadis peut-être belle. Les deux voix françaises se mêlent aux deux voix anglaises, auxquelles il faudrait ajouter par instants la voix de la douce tenancière des lieux -elle aussi sur le départ. On apprendra le drame du couple anglais et, par échos, celui du couple français. Et l'on rêve de celle qui fut surnommée Emily L., la femme de l'amour fou, la lady des poèmes et des yachts, voguant parmi les îles de la Sonde. Mais la belle journée passe, des pétroliers - hauts immeubles de l'impeccable blanc - montent sur le bleu et le noir. Un bac rouge, fragile, jette sa tache vive. L'immensité entre doucement dans la nuit. Il reste une certaine tranquillité, parcourue d'angoisses : celle du corps qui lit en soi le passage sans remède de toutes choses, «le corps qui lit et qui veut connaître l'histoire depuis les origines, et à chaque lecture ignorer toujours plus avant que ce qu'il ignore déjà». Jean-Maurice de Montremy

Philippe Sage

a attribué 7/10 au livre

Emily L.

1987 • livre de Marguerite Duras

Résumé : Un jour d'été, bar de la Marine, à Quillebeuf. Au large, l'estuaire de la Seine. C'est, à nouveau, Duras. A nouveau ce désœuvrement maritime, blanc et bleu, des plages tout juste passées de mode, avec un rien de luxe, des clients perdus et des voix qui renouent d'impossibles ruptures. «Je ne peux pas m'arrêter d'écrire, dit la narratrice à l'homme qui l'accompagne, je ne peux pas. Et cette histoire, quand je l'écris, c'est comme si je vous retrouvais que je retrouvais les moments où je ne sais pas encore ni ce qui arrive, ni ce qui va arriver ni qui vous êtes, ni ce que nous allons devenir.» La narratrice et l'homme qu'elle n'aime plus - ou qu'elle aime - observent deux autres solitaires du bar de la Marine, deux Anglais de l'île de Wight, venus de leur yacht : le «captain» et une femme détruite par l'alcool, jadis peut-être belle. Les deux voix françaises se mêlent aux deux voix anglaises, auxquelles il faudrait ajouter par instants la voix de la douce tenancière des lieux -elle aussi sur le départ. On apprendra le drame du couple anglais et, par échos, celui du couple français. Et l'on rêve de celle qui fut surnommée Emily L., la femme de l'amour fou, la lady des poèmes et des yachts, voguant parmi les îles de la Sonde. Mais la belle journée passe, des pétroliers - hauts immeubles de l'impeccable blanc - montent sur le bleu et le noir. Un bac rouge, fragile, jette sa tache vive. L'immensité entre doucement dans la nuit. Il reste une certaine tranquillité, parcourue d'angoisses : celle du corps qui lit en soi le passage sans remède de toutes choses, «le corps qui lit et qui veut connaître l'histoire depuis les origines, et à chaque lecture ignorer toujours plus avant que ce qu'il ignore déjà». Jean-Maurice de Montremy

toupietournante

a attribué 8/10 au livre

Emily L.

1987 • livre de Marguerite Duras

Résumé : Un jour d'été, bar de la Marine, à Quillebeuf. Au large, l'estuaire de la Seine. C'est, à nouveau, Duras. A nouveau ce désœuvrement maritime, blanc et bleu, des plages tout juste passées de mode, avec un rien de luxe, des clients perdus et des voix qui renouent d'impossibles ruptures. «Je ne peux pas m'arrêter d'écrire, dit la narratrice à l'homme qui l'accompagne, je ne peux pas. Et cette histoire, quand je l'écris, c'est comme si je vous retrouvais que je retrouvais les moments où je ne sais pas encore ni ce qui arrive, ni ce qui va arriver ni qui vous êtes, ni ce que nous allons devenir.» La narratrice et l'homme qu'elle n'aime plus - ou qu'elle aime - observent deux autres solitaires du bar de la Marine, deux Anglais de l'île de Wight, venus de leur yacht : le «captain» et une femme détruite par l'alcool, jadis peut-être belle. Les deux voix françaises se mêlent aux deux voix anglaises, auxquelles il faudrait ajouter par instants la voix de la douce tenancière des lieux -elle aussi sur le départ. On apprendra le drame du couple anglais et, par échos, celui du couple français. Et l'on rêve de celle qui fut surnommée Emily L., la femme de l'amour fou, la lady des poèmes et des yachts, voguant parmi les îles de la Sonde. Mais la belle journée passe, des pétroliers - hauts immeubles de l'impeccable blanc - montent sur le bleu et le noir. Un bac rouge, fragile, jette sa tache vive. L'immensité entre doucement dans la nuit. Il reste une certaine tranquillité, parcourue d'angoisses : celle du corps qui lit en soi le passage sans remède de toutes choses, «le corps qui lit et qui veut connaître l'histoire depuis les origines, et à chaque lecture ignorer toujours plus avant que ce qu'il ignore déjà». Jean-Maurice de Montremy

MrOcto69

a envie de lire le livre

omaxou

a attribué 7/10 au livre

Emily L.

1987 • livre de Marguerite Duras

Résumé : Un jour d'été, bar de la Marine, à Quillebeuf. Au large, l'estuaire de la Seine. C'est, à nouveau, Duras. A nouveau ce désœuvrement maritime, blanc et bleu, des plages tout juste passées de mode, avec un rien de luxe, des clients perdus et des voix qui renouent d'impossibles ruptures. «Je ne peux pas m'arrêter d'écrire, dit la narratrice à l'homme qui l'accompagne, je ne peux pas. Et cette histoire, quand je l'écris, c'est comme si je vous retrouvais que je retrouvais les moments où je ne sais pas encore ni ce qui arrive, ni ce qui va arriver ni qui vous êtes, ni ce que nous allons devenir.» La narratrice et l'homme qu'elle n'aime plus - ou qu'elle aime - observent deux autres solitaires du bar de la Marine, deux Anglais de l'île de Wight, venus de leur yacht : le «captain» et une femme détruite par l'alcool, jadis peut-être belle. Les deux voix françaises se mêlent aux deux voix anglaises, auxquelles il faudrait ajouter par instants la voix de la douce tenancière des lieux -elle aussi sur le départ. On apprendra le drame du couple anglais et, par échos, celui du couple français. Et l'on rêve de celle qui fut surnommée Emily L., la femme de l'amour fou, la lady des poèmes et des yachts, voguant parmi les îles de la Sonde. Mais la belle journée passe, des pétroliers - hauts immeubles de l'impeccable blanc - montent sur le bleu et le noir. Un bac rouge, fragile, jette sa tache vive. L'immensité entre doucement dans la nuit. Il reste une certaine tranquillité, parcourue d'angoisses : celle du corps qui lit en soi le passage sans remède de toutes choses, «le corps qui lit et qui veut connaître l'histoire depuis les origines, et à chaque lecture ignorer toujours plus avant que ce qu'il ignore déjà». Jean-Maurice de Montremy

shapedcobain

a attribué 8/10 au livre

et l'a ajouté à ses listes

Lectures de 2022

et

Duras

Emily L.

1987 • livre de Marguerite Duras

Résumé : Un jour d'été, bar de la Marine, à Quillebeuf. Au large, l'estuaire de la Seine. C'est, à nouveau, Duras. A nouveau ce désœuvrement maritime, blanc et bleu, des plages tout juste passées de mode, avec un rien de luxe, des clients perdus et des voix qui renouent d'impossibles ruptures. «Je ne peux pas m'arrêter d'écrire, dit la narratrice à l'homme qui l'accompagne, je ne peux pas. Et cette histoire, quand je l'écris, c'est comme si je vous retrouvais que je retrouvais les moments où je ne sais pas encore ni ce qui arrive, ni ce qui va arriver ni qui vous êtes, ni ce que nous allons devenir.» La narratrice et l'homme qu'elle n'aime plus - ou qu'elle aime - observent deux autres solitaires du bar de la Marine, deux Anglais de l'île de Wight, venus de leur yacht : le «captain» et une femme détruite par l'alcool, jadis peut-être belle. Les deux voix françaises se mêlent aux deux voix anglaises, auxquelles il faudrait ajouter par instants la voix de la douce tenancière des lieux -elle aussi sur le départ. On apprendra le drame du couple anglais et, par échos, celui du couple français. Et l'on rêve de celle qui fut surnommée Emily L., la femme de l'amour fou, la lady des poèmes et des yachts, voguant parmi les îles de la Sonde. Mais la belle journée passe, des pétroliers - hauts immeubles de l'impeccable blanc - montent sur le bleu et le noir. Un bac rouge, fragile, jette sa tache vive. L'immensité entre doucement dans la nuit. Il reste une certaine tranquillité, parcourue d'angoisses : celle du corps qui lit en soi le passage sans remède de toutes choses, «le corps qui lit et qui veut connaître l'histoire depuis les origines, et à chaque lecture ignorer toujours plus avant que ce qu'il ignore déjà». Jean-Maurice de Montremy

Gaellecture

a envie de lire le livre