L'actualité sur En route vers l'Ouest

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SnaFuGaKill

a attribué 8/10 au livre

En route vers l'Ouest

The Beast God Forgot to Invent

2000 • livre de Jim Harrison

Résumé : Après La Route du retour, ce récit de Jim Harrison confirme s'il en était besoin le goût pour le nomadisme et les grands espaces de l'auteur. "Le voyage sans destination particulière, dit-il, est mon mécanisme de survie." Pourtant, il n'est pas question dans ce recueil composé de trois longues nouvelles de conquête de l'Ouest au sens traditionnel du terme. L'Ouest qui est évoqué dans la nouvelle qui donne son titre au recueil c'est Hollywood, l'usine à rêves que Jim Harrison connaît bien pour y avoir travaillé comme scénariste. On y retrouve Chien Brun à la recherche d'une peau d'ours magique qui croise dans sa quête rocambolesque quelques charmantes starlettes et un certain scénariste qui rappelle étonnamment Big Jim. Dans J'ai oublié d'aller en Espagne, Jim Harrison évoque un écrivain qui a le sentiment d'avoir gâché sa vie dans une carrière de biographe à succès alors qu'il rêve de poésie, d'Espagne de bonne cuisine et de balades parisiennes. "Vous vous demanderez peut-être quel rapport il y a entre le fait d'écouter des morceaux de Miles Davis à minuit dans un club de jazz parisien et le restant de mon récit, mais cette question vient de nos efforts stériles pour trouver une cohérence artificielle à nos existences." Cette cohérence n'a jamais été aussi sensible que dans ces nouvelles pleines d'humour féroce et de poésie d'un écrivain au sommet de son art. --Gérard Meudal

Optiyoussprime

a attribué 8/10 au livre

En route vers l'Ouest

The Beast God Forgot to Invent

2000 • livre de Jim Harrison

Résumé : Après La Route du retour, ce récit de Jim Harrison confirme s'il en était besoin le goût pour le nomadisme et les grands espaces de l'auteur. "Le voyage sans destination particulière, dit-il, est mon mécanisme de survie." Pourtant, il n'est pas question dans ce recueil composé de trois longues nouvelles de conquête de l'Ouest au sens traditionnel du terme. L'Ouest qui est évoqué dans la nouvelle qui donne son titre au recueil c'est Hollywood, l'usine à rêves que Jim Harrison connaît bien pour y avoir travaillé comme scénariste. On y retrouve Chien Brun à la recherche d'une peau d'ours magique qui croise dans sa quête rocambolesque quelques charmantes starlettes et un certain scénariste qui rappelle étonnamment Big Jim. Dans J'ai oublié d'aller en Espagne, Jim Harrison évoque un écrivain qui a le sentiment d'avoir gâché sa vie dans une carrière de biographe à succès alors qu'il rêve de poésie, d'Espagne de bonne cuisine et de balades parisiennes. "Vous vous demanderez peut-être quel rapport il y a entre le fait d'écouter des morceaux de Miles Davis à minuit dans un club de jazz parisien et le restant de mon récit, mais cette question vient de nos efforts stériles pour trouver une cohérence artificielle à nos existences." Cette cohérence n'a jamais été aussi sensible que dans ces nouvelles pleines d'humour féroce et de poésie d'un écrivain au sommet de son art. --Gérard Meudal

MichelleCastagna

a attribué 8/10 au livre

En route vers l'Ouest

The Beast God Forgot to Invent

2000 • livre de Jim Harrison

Résumé : Après La Route du retour, ce récit de Jim Harrison confirme s'il en était besoin le goût pour le nomadisme et les grands espaces de l'auteur. "Le voyage sans destination particulière, dit-il, est mon mécanisme de survie." Pourtant, il n'est pas question dans ce recueil composé de trois longues nouvelles de conquête de l'Ouest au sens traditionnel du terme. L'Ouest qui est évoqué dans la nouvelle qui donne son titre au recueil c'est Hollywood, l'usine à rêves que Jim Harrison connaît bien pour y avoir travaillé comme scénariste. On y retrouve Chien Brun à la recherche d'une peau d'ours magique qui croise dans sa quête rocambolesque quelques charmantes starlettes et un certain scénariste qui rappelle étonnamment Big Jim. Dans J'ai oublié d'aller en Espagne, Jim Harrison évoque un écrivain qui a le sentiment d'avoir gâché sa vie dans une carrière de biographe à succès alors qu'il rêve de poésie, d'Espagne de bonne cuisine et de balades parisiennes. "Vous vous demanderez peut-être quel rapport il y a entre le fait d'écouter des morceaux de Miles Davis à minuit dans un club de jazz parisien et le restant de mon récit, mais cette question vient de nos efforts stériles pour trouver une cohérence artificielle à nos existences." Cette cohérence n'a jamais été aussi sensible que dans ces nouvelles pleines d'humour féroce et de poésie d'un écrivain au sommet de son art. --Gérard Meudal

Léo Miremont

a attribué 7/10 au livre

En route vers l'Ouest

The Beast God Forgot to Invent

2000 • livre de Jim Harrison

Résumé : Après La Route du retour, ce récit de Jim Harrison confirme s'il en était besoin le goût pour le nomadisme et les grands espaces de l'auteur. "Le voyage sans destination particulière, dit-il, est mon mécanisme de survie." Pourtant, il n'est pas question dans ce recueil composé de trois longues nouvelles de conquête de l'Ouest au sens traditionnel du terme. L'Ouest qui est évoqué dans la nouvelle qui donne son titre au recueil c'est Hollywood, l'usine à rêves que Jim Harrison connaît bien pour y avoir travaillé comme scénariste. On y retrouve Chien Brun à la recherche d'une peau d'ours magique qui croise dans sa quête rocambolesque quelques charmantes starlettes et un certain scénariste qui rappelle étonnamment Big Jim. Dans J'ai oublié d'aller en Espagne, Jim Harrison évoque un écrivain qui a le sentiment d'avoir gâché sa vie dans une carrière de biographe à succès alors qu'il rêve de poésie, d'Espagne de bonne cuisine et de balades parisiennes. "Vous vous demanderez peut-être quel rapport il y a entre le fait d'écouter des morceaux de Miles Davis à minuit dans un club de jazz parisien et le restant de mon récit, mais cette question vient de nos efforts stériles pour trouver une cohérence artificielle à nos existences." Cette cohérence n'a jamais été aussi sensible que dans ces nouvelles pleines d'humour féroce et de poésie d'un écrivain au sommet de son art. --Gérard Meudal

tal-ar-grip

a attribué 9/10 au livre

En route vers l'Ouest

The Beast God Forgot to Invent

2000 • livre de Jim Harrison

Résumé : Après La Route du retour, ce récit de Jim Harrison confirme s'il en était besoin le goût pour le nomadisme et les grands espaces de l'auteur. "Le voyage sans destination particulière, dit-il, est mon mécanisme de survie." Pourtant, il n'est pas question dans ce recueil composé de trois longues nouvelles de conquête de l'Ouest au sens traditionnel du terme. L'Ouest qui est évoqué dans la nouvelle qui donne son titre au recueil c'est Hollywood, l'usine à rêves que Jim Harrison connaît bien pour y avoir travaillé comme scénariste. On y retrouve Chien Brun à la recherche d'une peau d'ours magique qui croise dans sa quête rocambolesque quelques charmantes starlettes et un certain scénariste qui rappelle étonnamment Big Jim. Dans J'ai oublié d'aller en Espagne, Jim Harrison évoque un écrivain qui a le sentiment d'avoir gâché sa vie dans une carrière de biographe à succès alors qu'il rêve de poésie, d'Espagne de bonne cuisine et de balades parisiennes. "Vous vous demanderez peut-être quel rapport il y a entre le fait d'écouter des morceaux de Miles Davis à minuit dans un club de jazz parisien et le restant de mon récit, mais cette question vient de nos efforts stériles pour trouver une cohérence artificielle à nos existences." Cette cohérence n'a jamais été aussi sensible que dans ces nouvelles pleines d'humour féroce et de poésie d'un écrivain au sommet de son art. --Gérard Meudal

SpannungsBogen

a attribué 10/10 au livre

En route vers l'Ouest

The Beast God Forgot to Invent

2000 • livre de Jim Harrison

Résumé : Après La Route du retour, ce récit de Jim Harrison confirme s'il en était besoin le goût pour le nomadisme et les grands espaces de l'auteur. "Le voyage sans destination particulière, dit-il, est mon mécanisme de survie." Pourtant, il n'est pas question dans ce recueil composé de trois longues nouvelles de conquête de l'Ouest au sens traditionnel du terme. L'Ouest qui est évoqué dans la nouvelle qui donne son titre au recueil c'est Hollywood, l'usine à rêves que Jim Harrison connaît bien pour y avoir travaillé comme scénariste. On y retrouve Chien Brun à la recherche d'une peau d'ours magique qui croise dans sa quête rocambolesque quelques charmantes starlettes et un certain scénariste qui rappelle étonnamment Big Jim. Dans J'ai oublié d'aller en Espagne, Jim Harrison évoque un écrivain qui a le sentiment d'avoir gâché sa vie dans une carrière de biographe à succès alors qu'il rêve de poésie, d'Espagne de bonne cuisine et de balades parisiennes. "Vous vous demanderez peut-être quel rapport il y a entre le fait d'écouter des morceaux de Miles Davis à minuit dans un club de jazz parisien et le restant de mon récit, mais cette question vient de nos efforts stériles pour trouver une cohérence artificielle à nos existences." Cette cohérence n'a jamais été aussi sensible que dans ces nouvelles pleines d'humour féroce et de poésie d'un écrivain au sommet de son art. --Gérard Meudal

Cyril Abadie

a attribué 7/10 au livre

En route vers l'Ouest

The Beast God Forgot to Invent

2000 • livre de Jim Harrison

Résumé : Après La Route du retour, ce récit de Jim Harrison confirme s'il en était besoin le goût pour le nomadisme et les grands espaces de l'auteur. "Le voyage sans destination particulière, dit-il, est mon mécanisme de survie." Pourtant, il n'est pas question dans ce recueil composé de trois longues nouvelles de conquête de l'Ouest au sens traditionnel du terme. L'Ouest qui est évoqué dans la nouvelle qui donne son titre au recueil c'est Hollywood, l'usine à rêves que Jim Harrison connaît bien pour y avoir travaillé comme scénariste. On y retrouve Chien Brun à la recherche d'une peau d'ours magique qui croise dans sa quête rocambolesque quelques charmantes starlettes et un certain scénariste qui rappelle étonnamment Big Jim. Dans J'ai oublié d'aller en Espagne, Jim Harrison évoque un écrivain qui a le sentiment d'avoir gâché sa vie dans une carrière de biographe à succès alors qu'il rêve de poésie, d'Espagne de bonne cuisine et de balades parisiennes. "Vous vous demanderez peut-être quel rapport il y a entre le fait d'écouter des morceaux de Miles Davis à minuit dans un club de jazz parisien et le restant de mon récit, mais cette question vient de nos efforts stériles pour trouver une cohérence artificielle à nos existences." Cette cohérence n'a jamais été aussi sensible que dans ces nouvelles pleines d'humour féroce et de poésie d'un écrivain au sommet de son art. --Gérard Meudal

AnnePC

a attribué 8/10 au livre

En route vers l'Ouest

The Beast God Forgot to Invent

2000 • livre de Jim Harrison

Résumé : Après La Route du retour, ce récit de Jim Harrison confirme s'il en était besoin le goût pour le nomadisme et les grands espaces de l'auteur. "Le voyage sans destination particulière, dit-il, est mon mécanisme de survie." Pourtant, il n'est pas question dans ce recueil composé de trois longues nouvelles de conquête de l'Ouest au sens traditionnel du terme. L'Ouest qui est évoqué dans la nouvelle qui donne son titre au recueil c'est Hollywood, l'usine à rêves que Jim Harrison connaît bien pour y avoir travaillé comme scénariste. On y retrouve Chien Brun à la recherche d'une peau d'ours magique qui croise dans sa quête rocambolesque quelques charmantes starlettes et un certain scénariste qui rappelle étonnamment Big Jim. Dans J'ai oublié d'aller en Espagne, Jim Harrison évoque un écrivain qui a le sentiment d'avoir gâché sa vie dans une carrière de biographe à succès alors qu'il rêve de poésie, d'Espagne de bonne cuisine et de balades parisiennes. "Vous vous demanderez peut-être quel rapport il y a entre le fait d'écouter des morceaux de Miles Davis à minuit dans un club de jazz parisien et le restant de mon récit, mais cette question vient de nos efforts stériles pour trouver une cohérence artificielle à nos existences." Cette cohérence n'a jamais été aussi sensible que dans ces nouvelles pleines d'humour féroce et de poésie d'un écrivain au sommet de son art. --Gérard Meudal