L'actualité sur Essai sur la journée réussie
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1991 • livre de Peter Handke
Résumé : «Une journée peut être vaste comme le monde, longue comme le temps même, elle se dispose alors, à son rythme, selon sa propre "ligne de beauté et de grâce", comme sur une gravure de Hogarth, ce peintre anglais du XVIIIe siècle. Mais la réussir c'est réinventer toute la poésie du monde et faire que l'histoire n'ait pas été, comme au premier jour. Cette journée réussie toujours en suspens, on ne cesse de la voir en filigrane à travers toutes les autres. Les faits, les choses vues les plus minimes, conduits par une sorte d'émerveillement franciscain, retrouvent l'immensité perdue qui les a fait naître. Ils sont pourtant à tout instant menacés de se perdre. C'est entre Saint-Cloud et le Val d'Or, dans le virage du R.E.R. au-dessus de Paris, que le monde peut aussi bien se déployer que se défaire. Avec ce livre, se clôt le triptyque inauguré par l'Essai sur la fatigue et continué par l'Essai sur le juke-box.»
1991 • livre de Peter Handke
Résumé : «Une journée peut être vaste comme le monde, longue comme le temps même, elle se dispose alors, à son rythme, selon sa propre "ligne de beauté et de grâce", comme sur une gravure de Hogarth, ce peintre anglais du XVIIIe siècle. Mais la réussir c'est réinventer toute la poésie du monde et faire que l'histoire n'ait pas été, comme au premier jour. Cette journée réussie toujours en suspens, on ne cesse de la voir en filigrane à travers toutes les autres. Les faits, les choses vues les plus minimes, conduits par une sorte d'émerveillement franciscain, retrouvent l'immensité perdue qui les a fait naître. Ils sont pourtant à tout instant menacés de se perdre. C'est entre Saint-Cloud et le Val d'Or, dans le virage du R.E.R. au-dessus de Paris, que le monde peut aussi bien se déployer que se défaire. Avec ce livre, se clôt le triptyque inauguré par l'Essai sur la fatigue et continué par l'Essai sur le juke-box.»
1991 • livre de Peter Handke
Résumé : «Une journée peut être vaste comme le monde, longue comme le temps même, elle se dispose alors, à son rythme, selon sa propre "ligne de beauté et de grâce", comme sur une gravure de Hogarth, ce peintre anglais du XVIIIe siècle. Mais la réussir c'est réinventer toute la poésie du monde et faire que l'histoire n'ait pas été, comme au premier jour. Cette journée réussie toujours en suspens, on ne cesse de la voir en filigrane à travers toutes les autres. Les faits, les choses vues les plus minimes, conduits par une sorte d'émerveillement franciscain, retrouvent l'immensité perdue qui les a fait naître. Ils sont pourtant à tout instant menacés de se perdre. C'est entre Saint-Cloud et le Val d'Or, dans le virage du R.E.R. au-dessus de Paris, que le monde peut aussi bien se déployer que se défaire. Avec ce livre, se clôt le triptyque inauguré par l'Essai sur la fatigue et continué par l'Essai sur le juke-box.»