Après le très réussi « Glen Affric », j’ai plongé avec une certaine appréhension dans le nouvel opus de Karine Giebel.
Rien à voir avec le dernier bouquin , on suit la vie d’un infirmier humanitaire et son quotidien de l’horreur et de la folie des hommes
Non ce n’est pas une chronique de plus sur la réalité de la guerre à travers le monde mais plutôt un récit de la vie d’un homme qui se dope à l’adrénaline, aux risques insensés , quitte a y perdre l’esprit et ses proches.
C est dur, brut, sans concession mais le monde dans lequel nous vivons n’est il pas comme cela ?
Pour le besoin d’évasion , certes, on repassera…