"1939, Sally Turner, 16 ans, et son petit frère Ernie doivent quitter Londres par peur des bombardements. Ils se retrouvent en bord de mer, à Cliffehaven ou Peggy Reilley accepte de les accueillir dans sa pension. Un nouveau monde semble s'ouvrir aux deux enfants."
Comment ai-je découvert ce livre ? On me l’a prêté
Mon avis : Je n’en suis pas à mon premier roman de cette auteure puisque j’avais notamment lu La dernière valse de Mathilda il y a quelques années qui m’avait vraiment beaucoup plu. De ce fait, j’ai voulu réitérer l’expérience avec ce livre, premier tome d’une saga dont je n’ai pu lire que des avis très positifs. Les premiers chapitres avaient l’air plutôt prometteur et avaient tout pour me plaire, tant par l’aspect saga familiale, que par le contexte historique de la Seconde Guerre Mondiale qui m’intéresse particulièrement (si vous me suivez depuis quelques temps vous le savez maintenant). Cependant, cela ne l’a pas fait avec moi, et je ressors plutôt déçue de ma lecture. Je ne sais pas si c’est lié à la traduction puisque je n’avais pas eu ce problème dans ses autres romans, mais l’écriture de l’auteure m’a paru extrêmement lourde et assez redondante au point de rendre ma lecture difficile. Le manque d’action et de rebondissements renforce ces lourdeurs et a fait que je ne suis pas rentrée pleinement dans l’histoire. J’aurais pu passer outre si les personnages m’avaient plu, mais je les ai trouvés complètement stéréotypés et ils ont manqués de profondeur pour que je m’attache pleinement à eux. Dernier point négatif, j’ai toujours eu l’habitude de lire la quatrième de couverture avant ma lecture, mais pour une fois j’aurais dû m’abstenir. En effet, elle est bien trop spoilante puisque les quelques lignes du résumé m’ont spoilé le peu d’évènements importants qui se déroulent jusqu’à la page 311. Malgré tous ces points négatifs, ce livre n’est pas mauvais pour autant puisqu’il a plu à beaucoup de lecteurs, mais il n’était juste pas fait pour moi.