J'avais beaucoup aimé la saga des chroniques de Krondor et je voulais découvrir davantage l'auteur à travers ce one shot. L'ambiance y est à la fois merveilleuse et glaçante, un mélange surprenant. Le rythme est plutôt lent, ce n'est donc pas un roman que l'on dévore d'une traite. J'ai vraiment pris mon temps,. Du coup, je l'ai apprécié, même si je lui ai trouvé quelques longueurs, notamment dans la dernière partie. Il est emprunt d'un certain charme désuet difficile à décrire, charme coupé par des scènes franchement horribles et d'autant plus surprenantes. La fin aurait mérité toutefois un peu plus de punch, mais elle est dans l'esprit du roman.
Créée
le 19 nov. 2020
Critique lue 106 fois
D'autres avis sur Faërie
J'ai retiré une vague impression de vulgarité de cet ouvrage, comme si Feist avait collé du rouge à lèvres à paillettes, une jupe ras la foune et des talons hauts à la reine de Faërie pour la coller...
Par
le 21 déc. 2011
2 j'aime
À tout ceux qui croyaient que le genre littéraire du merveilleux se résumait seulement à une mièvrerie suave, je vous l'annonce : vous avez été floués, et Raymond E. Feist vous le prouve. Cet auteur...
le 4 mai 2022
1 j'aime
Il était une fois une ferme au bord d’une grande forêt verdoyante. Une famille reconstituée, qu’on peut qualifier de bobo, emménage pour se créer un nouveau départ. Entre la crise d’adolescence de...
le 2 mars 2018
1 j'aime
Du même critique
J'ai tout simplement adoré cette lecture, que je n'ai pas pu lâcher. Il faut dire que le thriller psychologique possède ses shcémas restreints, et l'auteure a vraiment su proposer quelque chose...
le 19 juil. 2020
3 j'aime
Le roman m'a tenue en haleine jusqu'à son dénouement, moment où la frustration a pris le dessus. Sans révéler l'intrigue, l'absurdité de la révélation saute aux yeux. Il semble que l'éclat ait été...
le 6 juin 2024
2 j'aime
Une histoire touchante sur la puissance du premier amour. J'ai eu pourtant du mal avec le style, au départ, trop oral. On s'y fait sur la longueur et il en devient même plutôt poétique.
le 2 mai 2020
2 j'aime
