Firmin, autobiographie d'un grignoteur de livres par domguyane

Une très jolie fable sur l'exclusion, la résistance, la passivité, la transcendance de la vie par la littérature et par le rêve, un petit livre que l'auteur place dans un quartier en voie de démolition de Boston.
Belle écriture, de l'humour, et un rappel, l'apparence n'est pas forcément vérité.
domguyane
8
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes coup de coeur, USA, 2010 : lectures et Boston

Créée

le 20 août 2010

Critique lue 350 fois

6 j'aime

domguyane

Écrit par

Critique lue 350 fois

6

D'autres avis sur Firmin, autobiographie d'un grignoteur de livres

Firmin, autobiographie d'un grignoteur de livres
BibliOrnitho
5

Critique de Firmin, autobiographie d'un grignoteur de livres par BibliOrnitho

Firmin est un petit rat de librairie. Au sens propre tout d’abord : il est un rongeur, dernier né d’une fratrie de treize rejetons ayant vu le jour (si je puis dire) dans le sous-sol d’une librairie...

le 13 avr. 2015

5 j'aime

Firmin, autobiographie d'un grignoteur de livres
trevorReznik
4

Critique de Firmin, autobiographie d'un grignoteur de livres par trevorReznik

Je n'ai pas réussi à me passionner pour l'histoire de ce rongeur dévoreur de livres. Mais les premières phrases (et pages), qui parlent justement de l'importance de la première phrase d'un livre sont...

le 21 oct. 2012

1 j'aime

Du même critique

37°2 le matin
domguyane
7

une film lumineux

je ne me souvenais plus que des scènes sur la plage, j'avais oublié combien la lumière est belle dans ce film, combien Dalle, même si le ton est parfois un peu faux, est belle en ingénue qui se...

le 24 juin 2011

13 j'aime

Babe, le cochon devenu berger
domguyane
8

Critique de Babe, le cochon devenu berger par domguyane

D'abord c'est un film australien, et même qu'il a un petit air néo-zélandais, donc il ne peut pas être mauvais. Ensuite il était une fois un petit cochon nommé Babe. Un fermier, nommé lui-même...

le 19 sept. 2010

12 j'aime

3

Bagdad Café
domguyane
8

Out of Rosenheim

Qui ne s'appelle Bagdad Café qu'en français. L'histoire d'une allemande larguée par son mec au milieu de nulle part, quelque part dans un motel entre LA et LV. Et la preuve qu'on peut vivre au...

le 19 oct. 2010

11 j'aime