La quatrième de couverture de Beigbeder établit la comparaison avec Moins que zéro de Bret Easton Ellis. Je comprends. Mais là où Moins que zéro nous plongeait dans la vacuité d'une jeunesse dans laquelle peu de lecteurs se retrouveront, le trio de Génération X est nettement plus fédérateur et les remises en question permanentes restent d'une lucidité et d'une actualité assez confondantes.De ce fait, ce qui était en 1991 un manifeste générationnel, se trouve être finalement inter-générationnel en 2017 d'où la puissance littéraire de ce bouquin.