J'ai adoré suivre les péripéties superficielles de Clay dans Less than zero, ses histoires relativement inintéressantes de défonce, de sexe et de MTV froidement narrées, tout comme j'ai trouvé très classe le fait de sponsoriser les moindres faits et gestes de Bateman dans American Psycho.
Mais en lisant Glamorama j'ai eu l'impression qu'Ellis avait bêtement repris ces deux concepts parce que ça marchait plutôt bien, les avait mélangé, avait un peu vomi dedans puis tranquillement publié le tout pour payer sa taxe d'habitation. En fait, Glamorama c'était un peu comme lire le journal intime du branleur insipide en jean Diesel et t-shirt Ed Hardy que je vois rentrer de boite le dimanche matin.