L'actualité sur Gringoland

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ArthurMass

a attribué 7/10 au livre

Gringoland

livre de Julien Blanc-Gras

Résumé : L'autre jour au bureau, j'ai trouvé un livre couché sur mon clavier avec une dédicace :Un jour (une nuit en fait) on a braqué ton bureau avec Bizot pour t'emprunter un ou deux bouquins. Je me fais pardonner en t'envoyant celui-ci. C'était titré Gringoland et signé Julien Blanc-Gras. Blanc-Gras ? On avait collaboré un peu à l'époque de feu Nova Magazine. Pas une raison pour le lire. Des bouquins, j'en reçois une vingtaine par semaine. Mais fallait que j'aille aux toilettes, donc un truc à lire. On était mercredi, jour du Canard, mais j'avais déjà lu le Canard d'un bout à l'autre sans rire d'ailleurs. Le Canard, malgré (où à cause de) le tragique de la France 2005, n'arrive plus être aussi poilant qu'avant.Dans l'intro de Gringoland, Blanc-Gras expliquait qu'il avait décidé de passer sa vie, toute sa vie, devant la télé. Ambition impossible hélas, car, s'aperçut-il, «la télé ne rend pas seulement con, elle rend surtout malheureux.»Là dessus, il atterrit à Mexico sans empaffer de towers. Pourquoi Mexico ? On n'en sait rien et lui non plus. Pourquoi pas Mexico ? "C'est pas une ville, c'est un monstre"C'est la route. Des musicos, des potes, des filles, des zapatistes, des océans. Les voyages forment la jeunesse. Page 62, je m'aperçois que je ne décroche toujours pas de Gringoland mais que je bloque les chiottes de Nova. J'ai fini le bouquin le soir à la maison - malgré Shanghai Express de Sternberg sur CanalSat, avec Marlene Dietrich et (surtout) Anna May Wong. (vu sur http://www.novaplanet.com)

axsn

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epont

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syliooo

a attribué 7/10 au livre

Gringoland

livre de Julien Blanc-Gras

Résumé : L'autre jour au bureau, j'ai trouvé un livre couché sur mon clavier avec une dédicace :Un jour (une nuit en fait) on a braqué ton bureau avec Bizot pour t'emprunter un ou deux bouquins. Je me fais pardonner en t'envoyant celui-ci. C'était titré Gringoland et signé Julien Blanc-Gras. Blanc-Gras ? On avait collaboré un peu à l'époque de feu Nova Magazine. Pas une raison pour le lire. Des bouquins, j'en reçois une vingtaine par semaine. Mais fallait que j'aille aux toilettes, donc un truc à lire. On était mercredi, jour du Canard, mais j'avais déjà lu le Canard d'un bout à l'autre sans rire d'ailleurs. Le Canard, malgré (où à cause de) le tragique de la France 2005, n'arrive plus être aussi poilant qu'avant.Dans l'intro de Gringoland, Blanc-Gras expliquait qu'il avait décidé de passer sa vie, toute sa vie, devant la télé. Ambition impossible hélas, car, s'aperçut-il, «la télé ne rend pas seulement con, elle rend surtout malheureux.»Là dessus, il atterrit à Mexico sans empaffer de towers. Pourquoi Mexico ? On n'en sait rien et lui non plus. Pourquoi pas Mexico ? "C'est pas une ville, c'est un monstre"C'est la route. Des musicos, des potes, des filles, des zapatistes, des océans. Les voyages forment la jeunesse. Page 62, je m'aperçois que je ne décroche toujours pas de Gringoland mais que je bloque les chiottes de Nova. J'ai fini le bouquin le soir à la maison - malgré Shanghai Express de Sternberg sur CanalSat, avec Marlene Dietrich et (surtout) Anna May Wong. (vu sur http://www.novaplanet.com)

manuela-v

a attribué 8/10 au livre

Gringoland

livre de Julien Blanc-Gras

Résumé : L'autre jour au bureau, j'ai trouvé un livre couché sur mon clavier avec une dédicace :Un jour (une nuit en fait) on a braqué ton bureau avec Bizot pour t'emprunter un ou deux bouquins. Je me fais pardonner en t'envoyant celui-ci. C'était titré Gringoland et signé Julien Blanc-Gras. Blanc-Gras ? On avait collaboré un peu à l'époque de feu Nova Magazine. Pas une raison pour le lire. Des bouquins, j'en reçois une vingtaine par semaine. Mais fallait que j'aille aux toilettes, donc un truc à lire. On était mercredi, jour du Canard, mais j'avais déjà lu le Canard d'un bout à l'autre sans rire d'ailleurs. Le Canard, malgré (où à cause de) le tragique de la France 2005, n'arrive plus être aussi poilant qu'avant.Dans l'intro de Gringoland, Blanc-Gras expliquait qu'il avait décidé de passer sa vie, toute sa vie, devant la télé. Ambition impossible hélas, car, s'aperçut-il, «la télé ne rend pas seulement con, elle rend surtout malheureux.»Là dessus, il atterrit à Mexico sans empaffer de towers. Pourquoi Mexico ? On n'en sait rien et lui non plus. Pourquoi pas Mexico ? "C'est pas une ville, c'est un monstre"C'est la route. Des musicos, des potes, des filles, des zapatistes, des océans. Les voyages forment la jeunesse. Page 62, je m'aperçois que je ne décroche toujours pas de Gringoland mais que je bloque les chiottes de Nova. J'ai fini le bouquin le soir à la maison - malgré Shanghai Express de Sternberg sur CanalSat, avec Marlene Dietrich et (surtout) Anna May Wong. (vu sur http://www.novaplanet.com)

Poussin

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Cedric_Cøtinat

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Gringoland

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Hell-in Graizon

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Laktchad

a attribué 8/10 au livre

Gringoland

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Laktchad

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Mawi

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Kimjongstin

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SarayPaco

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JJC

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SD66

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Gringoland

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Charybde2

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sur le livre

, l'a recommandé et lui a attribué 7/10

Gringoland

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Youn29

a attribué 7/10 au livre

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ad2ien

a attribué 5/10 au livre

KiidCathedrale

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deaddisco

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Clément Tomboy

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ddiane

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Watchful

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