Korim, archiviste hongrois au physique ingrat, trouve un manuscrit qui le bouleverse et souhaite faire connaître ce texte au monde entier. Autour de cette intrigue simple se dresse un roman dense et difficile d’accès. La longueur des phrases dépasse régulièrement une page, mêlant dialogues et sous intrigue. Y a-t-il un message ? Sans doute. L’ai-je compris ? Sans doute pas. La sous-intrigue, le contenu du manuscrit, narre le voyage de quatre hommes, artistes ou architectes, qui souhaitent apporter la paix dans un environnement perpétuellement violent, à la fin du XVe siècle. Le périple de Korim étant lui-même emprunt de violence, alors que ce héros respire le pacifisme, la mise en abîmes devient évidente. Pour porter quel propos ? Je l’ignore.