On ne peut que lui tirer notre chapeau

J'avais été très surpris de la qualité des 2ers livres Harry Potter illustrés par Jim Kay. J'attendais donc logiquement beaucoup du "Prisonnier d'Azkaban" qui marque le tournant plus mature pris par la saga. Je n'ai pas été déçu.

Les illustrations sont toujours aussi poignantes. Elles sont soit magnifiques, soit nous permettent d'avoir un regard différent sur une scène ou l'aspect physique d'un personnage que l'image que nous nous en faisons à la lecture des descriptions, soit nous prennent aux tripes lorsque l'illustration s'attaque à une partie du roman remplie d'émotions.

Jim Kay continue donc à rendre hommage de la plus belle des manières à l'univers créé par J.K. Rowling et qui, à titre personnel, m'est très cher. Lorsqu'un grand fan fait de tels compliments à un tiers qui se réapproprie l'univers qu'il chérit tant, ce n'est pas vide de sens. Bien au contraire, c'est la preuve qu'on ne peut que lui tirer notre chapeau.